Cest certainement la manière la plus traditionnelle d’étudier la poésie en CM1.La proposition de corpus de poèmes par thématique suit le cours du temps. Ainsi, il est souvent question de mettre en avant des poésies sur la thématique de la rentrée dès septembre et de poursuivre avec des poèmes sur les saisons. Lepoème "Chevaux de bois" est le 4ème poème de la section des "Paysages belges" du recueil "Romances sans paroles", il Il y a une alternance de quatrains à rimes masculines avec des quatrains à rimes féminines. Les manèges étaient des divertissements très à la mode au XVIIIème. I- L'anaphore du bercement Dans la première ariette qui commence le recueil Entrezun mot : trouvez toutes ses rimes riches, suffisantes et pauvres. Recherchez des anagrammes, des mots à la sonorité proche, des mots dont les sons consonnes ou voyelle Surle corps digne de ma patrie suppliciée. J'entends monter la voix de Maatoub. Sur un poème serti de mots de Neruda. Hommage des Andes au Djurdjura. Comme une offrande du combat universel. Ce chant dédié par le sang . A la résurrection du figuier : «Voici venir l'arbre, c'est l'arbre. De l'orage, l'arbre du peuple. Ses héros montent de la terre. Comme les feuilles par la 1Paul Van Tieghem, Le mouvement romantique, Paris, Vuibert, 1923, p. 28-29. « L’ancienne poésie anglaise mettait en scène les chevaliers, les dames, les exploits des anciens temps, dans les ballades. Ces brefs poèmes anonymes, généralement en strophes de quatre demi-vers courts, avec leur rythme énergique, leur accent mâle et un peu rude, la simplicité surannée de AiméCÉSAIRE. Mon cheval bute contre des crânes joués à la marelle de la rouille. mon cheval se cabre dans un orage de nuages qui sont des putréfactions de chairs à naufrage. mon . 6 poèmes <23Phonétique Cliquez pour la liste complète rama ramai ramais ramait ramâmes ramas ramât rame ramé rameau ramée ramées rames ramés rameuté rami ramie ramies ramis réâmes réarma réarmai réarmais réarmait réarmâmes réarmas réarmât réarme réarmé ... Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile L'ennemi terrassé que tu sais impuissant ! Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile S'éteindra dans mon sang, Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée Qui fait du vieux Titan un révolté divin ; C'est elle qui te brave, et ta rage insensée N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain. Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ; Libre dans les liens de cette chair fragile, L'âme de Prométhée échappe à ta fureur. Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore, Un invisible amour fait palpiter encore Les lambeaux de mon cœur. Si ces pics désolés que la tempête assiège Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir, Vous le savez, rochers, immuables murailles Que d'horreur cependant je sentais tressaillir, La source de mes pleurs était dans mes entrailles ; C'est la compassion qui les a fait jaillir. Ce n'était point assez de mon propre martyre ; Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire Est rempli de pitié pour d'autres malheureux. Je les vois engager une lutte éternelle ; L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n'arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ; C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature Dans son indifférence allait l'ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n'entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir. Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle, Imprudent que j'étais, je me suis attendri ; J'allumai la pensée et jetai l'étincelle Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri. Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage. Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage, Pour le doter après du fruit de mes larcins. Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré. Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ; Encore un attentat, l'homme était délivré ! La voici donc ma faute, exécrable et sublime. Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime ! Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs, Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ? Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie ! Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans. J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ; Tandis que mes conseils guidaient les combattants, Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée. Il s'agissait pour moi du sort de l'univers Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. En son cours éthéré le soleil magnifique N'aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d'airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence ; Lui-même Dieu n'était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés ! O songe évanoui ! Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l'iniquité céleste. Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste, Et dans mon désespoir me dire avec horreur Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! » Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire Tu ne me verras pas succomber en entier. Un esprit de révolte a transformé la terre, Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier. Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace, Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir. Aux humains affranchis je lègue mon audace, Héritage sacré qui ne peut plus périr. La raison s'affermit, le doute est prêt à naître. Enhardis à ce point d'interroger leur maître, Des mortels devant eux oseront te citer Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ? Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ; Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter. Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse ! Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse En traversant le monde enivrera mon cœur Le jour où, moins hardie encor que magnanime, Au lieu de l'accuser, ton auguste victime Niera son oppresseur ! Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve, L'homme répudiera les tyrans immortels, Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve, Se courber lâchement au pied de tes autels. Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide. Jetant sur toi son voile éternel et splendide, La Nature déjà te cache à son regard ; Il ne découvrira dans l'univers sans borne, Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne, La Force et le Hasard. Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine, Contre ce fugitif à ton joug échappé ! Refusant dans ses maux de voir ta main divine, Par un pouvoir fatal il se dira frappé. Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ; Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment, Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème, Il restera muet ce silence suprême Sera ton châtiment. Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire Pour croire encore en toi, funeste Déité. Plutôt nier le jour ou l'air que je respire Que ta puissance inique et que ta cruauté. Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes, Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ; J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ; Le doute est impossible à mon cœur indigné. Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère, Renonçant désormais à sonder le mystère, L'esprit humain ailleurs portera son flambeau, Seul je saurai le mot de cette énigme obscure, Et j'aurai reconnu, pour comble de torture, Un Dieu dans mon Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 968 votesI Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre Debout, le bras levé, superbe en sa colère, Animant le combat d'un geste souverain. Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ; Autour d'elle traçant des lignes enflammées, Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain. Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante ! En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces, Pour aider et fournir aux massacres atroces Toute matière est arme, et tout homme soldat. Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles, Quand un peuple agonise en son tombeau couché, Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie, Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie, Triomphante elle crie à la Mort Bien fauché ! » Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ; Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe ! Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés. Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne, Contemple avec douleur tous ces épis coupés. Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine, Sur la tige encor verte attendant leur saison. Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ; Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques, Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson. II Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ? Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ? Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ? Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là ! Qu'il lui crie A nous deux ! » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice Qu'il y descende donc, et pour les terrasser. A la lutte entraînez les nations entières. Délivrance partout ! effaçant les frontières, Unissez vos élans et tendez-vous la main. Dans les rangs ennemis et vers un but unique, Pour faire avec succès sa trouée héroïque, Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain. L'heure semblait propice, et le penseur candide Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide, Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. On respirait. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr! Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge. Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir ! Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes. Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ? Près des pères les fils gisent inanimés. Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides, Car ces monceaux de morts, inertes et livides, Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés. Affaiblis et ployant sous la tâche infinie, Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie ! Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé. Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ; C'était le bien commun de la famille humaine, Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé ! Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes, Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ; Dans le limon laissé par tes flots ravageurs Des germes sont semés de rancune et de rage, Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage, Qu'un désir, qu'un espoir enfanter des vengeurs. Ainsi le genre humain, à force de revanches, Arbre découronné, verra mourir ses branches, Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux ! En ce tronc mutilé la sève est impossible. Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible, Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux. III Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère, De nier les grandeurs de la mort volontaire ; D'un élan généreux il est beau d'y courir. Philosophes, savants, explorateurs, apôtres, Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir. Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile, Aux exploits destructeurs, au trépas inutile, Ferme dans mon horreur, toujours je dirai Non ! » O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie, Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie, On ose vous jeter en pâture au canon ! Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille ! Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille, Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré. - Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres Pâlissent indignés parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire, A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer, O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense, Je resterai, navrée et dans mon impuissance, Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer !La guerre Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 877 votes<23Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Encore des peintures de Camargue pour une nouvelle fable... Le cheval et les deux hérons Sur un fier cheval gris deux hérons se battaient Holà ! Les gardes bœufs cessaient de m’alpaguer Nul parasite à becqueter Sur mon bel écheveau ! » Hennit le camarguais. Vous indisposez ma vêture Je vous refuse la monture ! » Que se perdent les coups de triques Lorsqu'à l'oeil nous lui trions ses tiques ! » Répondirent en cœur les deux nicheurs perchés, Soulageons le troupeau lâché ». Laissant cheval se gratter, pour gracier Les nobles taurillons d’aiguillons suppliciés, Les deux libérateurs au rôle bénéfique Avalèrent leurs tiques, mouches et moustiques. D'un coup pour le beau Camargue vint les soupirs Tant attaqué de moucherons Qu'il se mordit, se gratta, pire Regretta sa chasse aux hérons. À cheval donné ne regarde pas la dent Si le bienfait est évident. Aller au contenu Franz Marc, Cheval bleu I, 1911 Quelques pas, un saut et il s’élève au Firmament Merveilleux être de lumière divine Fils élu de cette Nature Sublime Alchimie organique des quatre éléments Cheval tu es le Feu qui fait brûler le vent Le souffle d’Air de la Beauté Parfaite L’animal de la Terre au profil d’Athlète qui comme l’Eau, coule au gré du Temps Pégase de la Nuit je suis Bellérophon Pur Sang inaccessible et Roi comme le Lion Cheval tu tiens dans ton coeur le monde Etalon de légende, passion céleste de Chine Puissant comme Perceval, Hercule ou bien Odin Tu es l’Universel, tu propages le Bien Winston Perez, 2009 affileur, antidouleur, antivaleur, atteleur, avaleur, basculeur, baseballeur, batifoleurs, bestseller, Bouleurs, branleur, bruleur, brûleur, cabrioleur, calleur, cambrioleur, cavaleur, Chandeleur, cheval-heure, choleur, coaguleur, contrevaleur, contrôleur, couleur, courrielleur, culeur, dealer, dealeur, décapsuleur, défileur, démêleur, dépileur, dépuceleur, dérouleur, désempileur, désorceleur, doleur, douleur, effileur, empileur, enculeur, enfileur, enjôleur, enrouleur, ensorceleur, entôleur, épeleur, fileur, footballeur, frôleur, grouleur, harceleur, hydrocooler, khôlleur, marteleur, miauleur, microcontrôleur, modeleur, motobasculeur, mouleur, Müller, non-couleurs, onduleur, paintballeur, pâleur, piauleur, porte-malheur, poubelleur, profileur, querelleur, raffoleur, râleur, ravaleur, receleur, recéleur, rémouleur, rigoleur, rigoleuse, rôleur, rottweiler, rouleur, saleur, signaleur, souffre-douleur, souffre-douleurs, souleur, soûleur, spoiler, spouleur, survaleur, thrillers, toucouleur, traîne-malheur, transpiler, twiller, valeur, vielleur, violeur, vitrioleur, vitrioleuse. absidiale, adverbial, ale, alle, allodial, andriale, antibrachial, archéal, aréal, atayal, atrial, Baal, bayal, béal, bénéficial, bilabial, boréal, brachial, bractéal, branchial, cadial, cardial, cégésimal, céréal, cordial, Cormelles-le-Royal, corréal, crico-trachéal, déloyal, dentolabial, dial, discordial, endothélial, endothéliale, endothéliales, endotrachéal, épithélial, épithéliales, féal, floréal, fovéal, gayals, glial, glutéal, Graal, gymnasial, hâle, halle, hyales, hyménéal, idéal, iléal, intermodale, interprandial, labial, linguo-labial, loyal, lutéal, Madiale, médial, mentolabial, métatibial, mitochondrial, mondial, monopodial, Montréal, moréale, muséal, nivéal, nymphéal, palato-labial, périnéale, péritonéal, pétéchial, phiale, pinéal, plasmodial, postprandial, prairial, prandial, précordial, présidial, primordial, proverbial, radial, raméal, réal, rial, royal, sympodial, tibial, trachéal, Tréal, trial, Tsahal, unguéal, uvéal, Vauréal, vice-royal, zygomato-labial.

poème sur le cheval avec des rimes