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quiélabore la croyance à un fait » qu’elle est « l’un des plus grands mystères de la philosophie, bien que personne n’ait été jusqu’à soupçonner qu’il y eût une difficulté quelconque à l’expliquer » – et il ajoute qu’il y trouve, quant à lui, une grande difficulté. Dans le texte du livre I, en revanche, le lecteur rencontre, sur le même sujet, des formules de
1234mots 5 pages. Montre plus. Science et croyance. Science : C’est l’étude rationnelle et méthodique du monde. En tant que science « fondamentale », elle vise à produire des connaissances. En tant que « technologie », elle a pour but d’utiliser ces connaissances pour produire des objets ou des méthodes utiles aux activités
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. Il est une question que nous nous sommes tous déjà posés, au moins une fois dans notre vie qu’est-ce que l’âme ? Cette énergie qui semble être la base de tout être vivant et conscient soulève de nombreuses interrogations, tant dans le domaine scientifique que spirituel et religieux. Si vous souhaitez en apprendre plus sur l’âme, ce qu’elle signifie pour chaque religion et ce qui lui arrive dans l’au-delà , n’hésitez pas à continuer votre lecture de cet article sur viversum. Qu’est-ce que l’âme explications Appellation tirée du latin anima pour souffle », respiration, l’âme est un concept reconnu de tous et que l’on retrouve dans de nombreuses situations et secteurs. Il s’agit, pour la plupart d’entre nous, de l’énergie, vitale et fondamentalement spirituelle, qui nous habite tous et qui nous donne la vie mais aussi notre personnalité et notre singularité. Au niveau scientifique, l’âme n’est pas tant considérée comme un fait immatériel que comme un propriété physique associée à tout être vivant ; c’est un postulat philosophique que l’on appelle le physicalisme », et sur lequel de nombreux scientifiques se reposent. A un niveau plus spirituel, il est intéressant d’observer que, quelle que soit la religion que l’on vit ou que l’on observe, savoir qu’est-ce que l’âme préoccupe tous ceux qui ont une vie spirituelle ainsi qu’une croyance en l’âme. L’âme dans les religions Afin d’avoir une meilleure idée globale de qu’est-ce que l’âme peut bien être, les réponses apportées par les trois principales religions le judaïsme, le christianisme et l’islam sont intéressantes à étudier. Dans le judaïsme, l’âme a été insufflée à l’Homme par Dieu lui-même. Elle s’appelle ainsi neshama et signifie littéralement souffle de vie » ! Mais, à la différence de l’opinion des scientifiques, l’âme n’est ici pas considérée comme une possession de l’être humain ; ce dernier est une âme, tout simplement. Dans le christianisme, là aussi, l’âme et le corps sont deux entités distinctes où la première donne vie au second mais peut tout à fait fonctionner sans ce dernier. Dans ce cas, elle sera tout simplement élevée au Paradis - ou en Enfer. Dans l’islam, l’âme est vue comme l’une des plus grandes créations de Dieu ; en effet, c’est elle qui donne la vie telle que nous la connaissons aux corps matériels de chacun d’entre nous. Etant été créée par Dieu, l’âme ne peut par conséquent être jugée que par lui. L’animisme, qu’est-ce que c’est ? Par ailleurs, il existe une autre croyance qui met l’âme au cœur de ses rituels et de ses cultes ; il s’agit de l’animisme. Ici, la croyance veut que l’âme soit une force vitale qui anime non seulement les êtres vivants humains, animaux mais aussi tous les objets et éléments naturels que nous entourent. Roches, arbres ou encore vent et feu sont même vus comme des entités mystiques, qu’il convient de vénérer et de respecter. Qu’est-ce que l’âme que deviennent l’âme et l’esprit après la mort ? Lorsque l’on se pose la question qu’est-ce que l’âme ? », une autre interrogation inévitable concerne, bien évidemment, le sort de cette dernière à la fin de nos existences terrestres. De nombreuses réponses sont apportées par différentes sources religions, mais aussi témoignages d’individus ayant vécu des expériences de mort imminente ou encore de médiums en contact avec l’âme dans l’au-delà d’individus décédés grâce à un ouija. Parmi les hypothèses les plus populaires quant au sort de l’âme à la mort de nos corps physiques, on pourra ainsi notamment parler de la transmigration des âmes. Il s’agit du déplacement de l’âme d’un corps à un autre ; la traduction la plus connue de cette idée est la réincarnation, que l’on retrouve d’ailleurs dans de nombreuses religions, dont l’hindouisme. Il est d’ailleurs courant de rencontrer des gens déclarant être une vieille âme », cette sensation étrange d’avoir déjà vécu plusieurs vies et, par conséquent, d’avoir une certaine sagesse et une philosophie de vie atypique comparée à d’autres personnes ayant le même âge. Peut-être êtes-vous, vous-même, une vieille âme, qui sait ! Qu’est-ce que l’âme ? Depuis notre plus tendre enfance, une grande question nous habite tous qu’est-ce que l’âme ? Que l’on s’oriente vers les réponses apportées par les différentes religions ou que l’on s’intéresse à une réponse plus spirituelle et globale, tout semble indiquer que l’âme est plus qu’une simple partie de notre personne. Elle est tout simplement nous et insuffle la vie dans chaque être vivant qui nous entoure. Que vous souhaitiez entrer en contact avec une personne disparue ou que vous souhaitiez simplement en savoir plus sur les différentes techniques divinatoires pour entrer en contact avec une âme dans l’au-delà , vous pourrez certainement trouver des réponses à vos interrogations auprès de nos spécialistes en voyance. Ils sont disponibles tous les jours, par email ou par téléphone.
Résumé de L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir En réunissant sept sages de cultures et de religions différentes, Frédéric Lenoir nous invite, dans ce roman, à nous questionner sur ce qui donne un réel sens à la vie, et grâce aux sept clés de la sagesse, il nous aide à progresser pour vivre bien, en accord avec nous-même et notre environnement. Par Frédéric Lenoir, 2012, 160 pages Chronique et résumé de L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir Première partie de L’Âme du monde » Au pied de la montagne blanche Le récit de L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir commence ainsi sept sages perçoivent un message au même moment et dans divers endroits. Chacun est invité, parfois avec autorité, pour certains avec malice à se rendre dans un monastère bouddhique du Tibet. – Partir Le vieux rabbin Salomon ou Schlomo Le rabbin Salomon entend une voix lui souffler Va à Toulanka ». Son appartenance au courant libéral du journalisme l’a amené à quitter New York pour aller vivre à Jérusalem avec sa famille. L’idée de se rendre au Tibet à l’âge de 82 ans est pour le moins saugrenue et donc fort intéressante ! Ansya la chamane En Mongolie, Ansya n’arrive pas à trouver le sommeil et sort de sa yourte pour contempler le ciel étoilé. Cette nuit-là , une vision lui apparaît. Ne sachant pas comment interpréter cet esprit lumineux, elle en parle à sa vieille tante chamane qui lui avoue avoir vu en rêve qu’elle devait partir dès l’aube pour un temple à la frontière de la Chine et de l’Inde. Le père Pedro Le père Pedro est originaire de Salvador de Bahia au Brésil et vit dans l’État américain de l’Oregon depuis 25 ans. Ce moine catholique a quitté un monastère trappiste pour un modeste ermitage pour y pratiquer la prière perpétuelle. C’était sans compter sur une petite fille venue le visiter dans son sommeil. Croyant au caractère magique des rêves, il accepte, lui aussi de se rendre en Chine pour répondre à cet appel intriguant. Ma Ananda la femme hindoue Dans le nord de l’Inde, Ma Ananda, une femme hindoue a été reconnue délivrée vivante » dès son enfance. Ce statut lui confère le droit de s’élever au rang de grande sainte. Ma Ananda enseigne la bonne parole dans son modeste ashram. Elle part brutalement au petit matin, sans dire à ses disciples ni où elle se rend, ni pour combien de temps. Maître Kong le vieux sage chinois Près de Shanghai, Maître Kong est un vieux sage chinois en charge d’un petit temple taoïste. Vivant très modestement avec sa femme, il enseigne à ses disciples les fondements de la sagesse chinoise. Cela ne lui empêche pas de se tourner vers la modernité et d’attraper le virus de la technologie. C’est par le biais de son GPS qu’il prend connaissance de la destination où il doit se rendre. Cheik Yossuf le musulman Au Nigéria, Cheik Yossuf est le fondateur d’une confrérie musulmane soufie. Le musulman est très surpris de voir apparaître des lettres lumineuses sur le livre qu’il est en train de lire. Il peut y lire Toulanka avant que le vent souffle les pages de son Coran vers la première sourate. Cheik Yossuf n’est pas très enjoué de laisser sa femme qui vient d’accoucher, mais l’appel est trop fort. Il prend également la route vers le monastère. Gabrielle la philosophe Gabrielle habite à Amsterdam. Cette femme brillante enseigne la philosophie grecque, avec une approche laïque tournée vers le bien-être personnel. Un jour, en regardant un documentaire sur le monastère de Toulanka, elle est parcourue de frissons inexplicables. Elle cherche alors un moyen de faire garder sa jeune fille Natina, sans succès. N’ayant pas d’autre solution, Gabrielle se dit qu’il doit sûrement en être ainsi et accepte que sa fille l’accompagne au Tibet. – Le monastère Moins d’une semaine après cet appel étrange, Rabbi Schlomo, la chamane Ansya, le père Pedro, Ma Ananda, Maître Kong, Cheik Youssuf, Gabrielle et sa fille Natina se retrouvent dans l’unique hôtel de la bourgade. Ils font connaissance en échangeant en anglais. Tous s’aperçoivent très vite qu’ils sont là pour la même chose. Cependant, la raison réelle leur échappe. Lorsque Lama Dorjé, un vieux lama tibétain les rejoint, il leur demande de les suivre jusqu’au monastère. Face aux sages qui s’interrogent quant à la raison de cette expédition, Lama Dorjé esquisse un petit sourire. Ce dernier a rêvé qu’il devait venir chercher 4 hommes, 3 femmes et une jeune fille blonde au village. Mise à part qu’il s’agit de 7 sages étrangers, il ne sait rien d’autre sur sa mission. – Tenzin Il leur faut 3 jours de marche à pied pour atteindre enfin le temple de Toulanka. La difficulté de l’ascension est compensée par la beauté grandiose des paysages. Dans le temple, une vingtaine de moines vivent autour d’un jeune lama de 12 ans Tenzin Pema Rinpoché. Tenzin est la réincarnation de Lama Tokden Rinpoché, précédent chef des lieux et grand maître spirituel. Avant de mourir, Lama Tokden avait demandé qu’on forme son successeur dans une double culture tibétaine et occidentale. » Lama Tokden Rinpoché avait, avant de mourir, désigné Lama Dorjé pour se charger de trouver la personne de sa future réincarnation. La rencontre entre Lama Dorjé et Tenzin Pema Rinponché a lieu lorsque le petit Tenzin n’a que deux ans, mais elle est évidente pour chacun d’entre eux. La famille de Tenzin accepte de laisser l’enfant aux bons soins des moines. On fit appel à un moine ayant vécu au Canada pour lui apprendre l’anglais. Selon les vœux de son prédécesseur, il n’est pas ordonné moine, de manière à ce qu’il puisse choisir entre une vie monastique ou laïque à sa majorité. Tenzin Pema Rinpoché fait preuve d’une maturité étonnante et remercie tous ces sages d’être venus. Il constate qu’il a à faire à huit représentants des principaux courants spirituels du monde. Il inclut évidemment la personne de Lama Dorjé dans sa liste. Je suis heureux qu’une jeune fille aux cheveux de soleil et aux yeux du ciel vous accompagne. » Le jeune garçon s’adresse ensuite à la jeune Natina pour lui dire qu’elle doit être d’une grande sagesse pour faire partie de cette réunion. Le père Pedro prend la parole pour le remercier de son accueil. Il lui demande de leur en dire plus sur la raison de ce voyage commun. Devant ses compagnons médusés, le jeune lama lui répond que, lui, n’a pas entendu de voix et n’a pas eu de vision non plus. Cheik Youssuf est le plus impatient. Serait-il possible de donner des nouvelles à leurs familles ? Lama Dorjé l’informe que le temple ne dispose ni de téléphone, ni d’Internet. Leur crainte s’estompe quand Maître Kong leur avoue avoir emmené son ordinateur et son téléphone satellitaire. Les problèmes de communications sont déjà oubliés. – Une source, un éléphant et une montagne Tous se côtoient dans la bonne humeur et échangent autour de leurs courants spirituels. Ils s’étonnent qu’il existe autant de points communs dans leurs spiritualités, malgré des divergences théoriques bien ancrées. Ma Ananda remarque que leurs langages sont différents, mais que les expériences spirituelles de chacun sont très proches. Elle est rejointe par le père Pedro qui exprime sa propre impression nous sommes tous en quête de la sagesse éternelle ». Rabbi Schlomo ajoute qu’ils sont également tous en-dehors de tout dogmatisme. Vous connaissez la parabole de l’éléphant ? » Le Cheik Youssuf raconte alors à ceux qui l’ignorent ce qu’est la parabole de l’éléphant. Cette histoire est la suivante Un jour, un roi réunit des aveugles de naissance n’ayant jamais touché vu un éléphant. Il leur demande d’explorer l’animal avec leurs mains. Chacun s’attarde alors sur l’une des parties de son corps. Et au final, tous ont une interprétation très différente de ce qu’ils ont perçu. L’un y voit une liane, un autre, un arbre, un troisième qui a touché l’oreille reconnaît une feuille de bananier. Chacun accusant l’autre de mauvaise foi, le roi doit intervenir. Rabbi Schlomo ajoute que l’éléphant a une composition unique. Ce sont donc bien les perceptions limitées de chacun qui en faussent l’appréciation. Avant la naissance du monde, Dieu emplissait tout l’espace » Rabbi Schlomo explique ensuite aux autres sages la théorie de Tsimtsoum » portée par la tradition kabbalistique. Elle représente la dissimulation de la Lumière divine selon laquelle chaque être bénéficie d’une partie de cette clarté. Ainsi, aucun ne peut affirmer posséder la totalité de la Révélation. Ils tombent d’accord sur le fait que chacun a besoin des autres pour mieux appréhender la Lumière divine. Ma Ananda apporte sa pierre à l’édifice en utilisant une métaphore environnante. Elle déclare que chaque montagne est différente. Le plus important n’est pas la montagne gravie, mais le chemin parcouru. Il en est de même pour la vie spirituelle, qui se nourrit par le foisonnement de ses chemins. – Émois amoureux Au fil des jours, chacun prend progressivement ses quartiers pour se recueillir. Seuls les deux plus jeunes continuent à se découvrir. La noirceur de la chevelure de Tenzin contraste avec la lumière irradiant du physique de Natina. Chacun est fasciné par la profondeur des connaissances de l’autre. La spiritualité tibétaine rencontre la culture éclectique Occidentale doublée de la culture du web. Tous deux prennent l’habitude de faire de longues promenades autour du monastère. Tenzin est de plus en plus troublé par la jeune fille, et au détour d’une course joyeuse, main dans la main, il se sent très ému. Alors que la jeune Néerlandaise lui touche la poitrine, elle sent son cœur battre la chamade. Tu es peut-être amoureux mon garçon ! » Le garçon entre alors dans un silence gêné jusqu’au soir, puis finit par se confier au Lama Dorjé. Avec un petit sourire malicieux, ce dernier lui répond qu’il est peut-être en train de tomber amoureux. Il lui conseille de prendre un peu de distance, car il le trouve jeune. De plus, cet engouement n’est pas forcément compatible avec sa destinée. Pourtant, ce serait un excellent exercice de méditation sur la transformation de ses émotions. Ainsi, l’idée serait d’arriver à transformer cet amour en sentiment noble, au lieu de le subir. De son côté, la jeune fille ouvre son cœur à sa mère. Gabrielle lui conseille d’être plus réservée face au jeune homme qui n’a pas l’habitude de côtoyer des jeunes filles. Les jours suivants, Tenzin et Natina continuent d’échanger en s’émerveillant de leurs différences. Une profonde affection naît entre eux. Ils s’imaginent déjà en train de correspondre une fois que Natina sera rentrée chez elle. Nous ne prions pas ensemble, mais nous sommes ensemble dans la prière. » Si les autres sages se rencontrent peu, ils admettent être ensemble dans la prière. Cela prend la forme d’une méditation silencieuse après le repas du soir. Au fil des jours, ce moment devient de plus en plus important, tout en devenant pesant. Cela fait déjà 17 jours qu’ils ont respectivement quitté les leurs. Au réveil, chacun cherche un signe dans le regard de ses congénères, pour y trouver une intuition nocturne. Gabrielle, qui ne veut pas faire rater la rentrée scolaire à sa fille, décide de prendre les devants. Quand elle annonce avoir décidé de partir le lendemain, les autres manifestent leur intention de faire de même. – Songes Le petit-déjeuner du lendemain est marqué par plusieurs impressions étonnantes. Tout le monde a fait le même rêve celui que leur lieu de culte, d’enseignement ou de résidence était dévasté. Pour le père Pedro, c’est incroyable que tous y aient songé au cours de la même nuit. Tous sont intimement persuadés que ce message est destiné à les faire rester. Était-ce un message annonçant une catastrophe qui pourrait faire disparaître l’humanité ? Pour le père Pedro, il s’agit plus d’un changement radical qui va s’opérer au cœur des religions. Il voit émerger une nouvelle ère coupée de ces racines métaphysiques. Gabrielle fait la remarque que cette tendance était déjà en marche dans le monde moderne avec l’oubli de son passé religieux. Pourtant, d’autres sont d’accord pour noter que des retours à la religion sont aussi visibles. Alors, de quoi s’agissait-il ? Et si nous avions été réunis pour élaborer ensemble un enseignement ? » Cheik Youssuf se questionne à voix haute. Devant la mine dubitative des autres, Ma Ananda vient à son secours. Elle affirme à son tour qu’elle pressent qu’ils sont là pour dépasser leurs différences et tenter de formuler ensemble les fondements universels de la sagesse. Les huit protagonistes s’accordent alors sur deux orientations à prendre en compte Quoi dire ? Sur quel support ? Certains, comme Rabbi Schlomo voit bien ce texte sur du papier, d’autres l’imaginent plus sur du bois ou de la pierre. Mais ces réflexions sont balayées par d’autres questionnements. Comment élaborer des lois spirituelles sans risquer d’y mêler la petite compréhension de la sagesse propre à chacun ? Ansya a alors une intuition. Elle demande aux deux jeunes gens s’ils ont également fait ce rêve ? Et vous ? Avez-vous fait un rêve ? » Alors que Natina commence à évoquer son rêve, Tenzin poursuit de le raconter. Ils ont tous deux fait le même songe. Celui d’une rivière minuscule irriguée par 8 rivières, qui devient un grand fleuve. Son eau remplit alors un désert où des plantes se mettent à pousser. Tous prennent alors conscience que la meilleure façon d’enseigner ces règles de la spiritualité est l’oralité. Les deux jeunes adolescents devront ensuite les intégrer et se les approprier. Ensuite, ils pourraient les diffuser selon leur propre ressenti. Une fois la question du contenant résolue, il faut maintenant se pencher sur le contenu. – L’essentiel est invisible pour les yeux Dans cette partie de L’Âme du Monde », Frédéric Lenoir met les 7 sages à l’épreuve. En effet, conscients que les choses qui les séparent sont plus évidentes que celles qui les rassemblent, les sages se sentent dans l’impasse. Gabrielle avance une problématique de taille l’Absolu de chacun ne peut être entaché. Pour elle, Dieu se confond avec la Nature, pour les autres, il est un être suprême. Cheik Youssuf explose de rire et suggère de ne pas parler de Dieu. Et si nous parlions du visible et de l’invisible, plutôt ? » Chacun se met alors à réfléchir à cette notion dans sa propre pratique de la spiritualité Maître Kong avance que la médecine chinoise est fondée sur ce postulat. Il existe des flux invisibles qui sont bien réels et sur lesquels il est possible d’intervenir. Ansia, la femme chamane, fait remarquer que lorsqu’elle entre en transe, elle perçoit des entités invisibles. Le rabbin y va de sa réflexion, selon laquelle une partie invisible vient compléter le corps physique. Il ajoute que l’immortalité de cette âme est aussi une chose qu’ils partagent tous. Gabrielle cite plusieurs philosophes selon lesquels il existe une âme spirituelle qui est immortelle. Lama Djorké vient apporter une nuance pour les bouddhistes, l’esprit n’a ni fin, ni commencement. Il transmigre de corps en corps, jusqu’à aboutir au stade suprême l’Éveil ». Le père Pedro admet à son tour que de nombreuses âmes de défunts connaissent sûrement un état médian entre l’enfer et le paradis. Ma Ananda conclut qu’ils ont, en effet, tous de l’intérêt pour la vie de leur esprit après la mort. Partant de ce constat, il leur apparaît clairement que le plus important à transmettre est leur attitude à avoir. Celle qui les conduit à mener une vie juste et bonne. Pour cela, ils tenteront de lister les principes fondamentaux de la sagesse. Ainsi, chacun va devoir s’isoler et réfléchir à cela avant de mettre leurs découvertes en commun. – Le cerf-volant et l’Âme du monde Les deux adolescents ont écouté avec attention les paroles des sages. Ils ressortent pourtant anxieux de cette discussion. En effet, chacun se demande s’il sera à la hauteur pour comprendre et enseigner cette parole. Finalement, ils tombent d’accord sur le fait qu’ils y arriveront à deux, en se soutenant. Puis, pour détendre leur esprit, ils décident d’aller jouer au cerf-volant et d’exécuter des exercices de yoga. Chaque sage s’isole dans sa cellule pendant trois jours. Ensuite, ils échangent pendant quatre jours dans la salle commune. Ils s’y restaurent et n’en sortent que tard le soir. Lorsqu’au cinquième jour, les cloches se mettent à sonner toutes seules, les sages comprennent qu’il est, à présent, temps d’agir. Ce signe peut aussi être de mauvais augure. Il faut donc se presser et agir. Dès le lendemain, ils commencent leur transmission aux deux enfants assis en tailleur. Ces derniers semblent fatigués et concentrés. Mes enfants, nous sommes parvenus à nous entendre sur sept points principaux qui résument l’essentiel de la sagesse humaine. » Frédéric Lenoir donne alors la parole aux 7 sages pour dévoiler leurs réflexions. Pour éviter de faire allusion à sa religion, personne n’emploiera jamais son Dieu ou équivalent cette entité suprême est alors appelée l’Âme du monde. Tirée de la philosophie grecque, cette formule suppose l’existence d’une force bonne et mystérieuse. Essentiellement chargée de maintenir l’ordre du monde, elle peut ainsi être interprétée par chaque sage dans son for intérieur. Pour conclure, Tenzin et Natina sont invités à les écouter avec leur intelligence et aussi avec leur cœur. Ils sont désormais prêts à entrer dans les sanctuaires de l’esprit et du cœur. Deuxième partie de l’Âme du monde » Les sept clés de la sagesse Dans cette deuxième partie de L’Âme du Monde », les sages s’accordent sur le fait qu’ils enseigneront, chaque jour, un principe aux deux jeunes gens. Les points principaux mis en lumière par Frédéric Lenoir seront alors abordés en 7 jours. Jour 1 Le port et la source Du sens de la vie Beaucoup d’hommes qui ont accès à la richesse et au pouvoir se contentent de cela sans s’interroger réellement sur la signification de leurs existences. Pourtant, ceux qui n’attachent de l’importance qu’à leurs besoins immédiats ne pourront pas réellement s’accomplir. Il faut se poser différentes questions fondamentales qui permettent d’atteindre un bonheur véritable et durable. Car c’est précisément ce qui nous différencie des animaux cette conscience du plaisir et du déplaisir. Finalement, c’est cela qui nous aide à maîtriser nos émotions et nos pulsions. La grandeur de l’être humain, c’est qu’il est le seul être vivant qui puisse s’interroger sur la signification de son existence et lui donner une direction, un but. » Pour commencer, il est important de bien réussir sa vie pour ne pas avoir de regrets au moment de sa mort. Et il faut la vivre de manière proprement humaine. L’homme doit avoir conscience qu’il possède en lui deux trésors inestimables La clarté de l’esprit, synonyme de liberté. La bonté du cœur, qui mène au bonheur. La vie est comme un voyage pendant lequel nous devons faire des choix pour nous construire. Cependant, cette évolution est parsemée d’obstacles indépendants de notre volonté. Nous sommes également confrontés à des émotions déstabilisantes la peur, la colère, la jalousie, etc. Au fond, il faut apprendre à vivre en pleine conscience et faire les bons choix, les yeux grands ouverts. Parmi les choses essentielles qu’il faut tenter de développer, on trouve L’amour. L’amitié. L’activité créatrice. La contemplation de la beauté du monde. À vrai dire, il faut garder en tête que tout ce qui superflu est coûteux, alors que l’essentiel est gratuit. D’autre part, L’Âme du Monde » souligne, qu’il est nécessaire de trouver notre vocation pour ne pas rester d’éternels affamés ». Qu’il s’agisse d’un métier, de fonder une famille ou de s’engager pour une cause, nous avons tous en nous des prédispositions pour accomplir de belles choses. Deviens ce que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Suis la voix de ton cœur. » En premier lieu, nous devons tous essayer d’atteindre la source qui pourra nous permettre d’étancher la soif de notre âme. Cela consiste à trouver un compromis entre une harmonie intérieure et une profonde union avec le monde. Peu importe la nature de cette source, il suffit d’avoir une réelle volonté de l’atteindre. La principale difficulté est de distinguer la soif et la faim de notre âme avec nos désirs sensibles. En réalité, notre bonheur ne réside pas dans la possession de richesses, mais bien dans la paix de l’âme. En effet, le bonheur que l’on recherche dans la jouissance d’objets ou des personnes ne peut pas nous combler entièrement, car il est dépendant de plusieurs facteurs Il est impossible, matériellement parlant, d’obtenir tout ce que nous désirons. Les choses et les êtres qui nous entourent sont soumis à la loi de l’impermanence, et ils peuvent disparaître. Nous sommes d’éternels insatisfaits et le fait d’orienter nos désirs vers des objets matériels nous empêche d’être au repos. Connaissez-vous la différence entre l’enfant et l’adulte ? La taille de son jouet. » Ainsi, pour échapper au désir, nous devons passer de l’état de l’avoir à celui de l’être. D’abord, nous devons prendre conscience que le malheur et le bonheur s’épanouissent en notre intérieur. Ainsi, c’est en développant le meilleur de nous-mêmes que nous sortirons de cette logique de possession qui ne mène à rien. Par ailleurs, le plus important est d’essayer de vivre vite selon le Bien et non de penser à vivre longtemps sans se soucier de cette notion essentielle. Épilogue de la première journée Au terme de cette première journée, le jeune moine Tenzin se replie dans sa cellule pour réciter inlassablement les enseignements reçus. La jeune Natina, quant à elle, peine à se concentrer. Ma Ananda vient la rassurer elle lui explique qu’il lui suffit de retenir les grandes lignes de ce qu’elle appris. Désormais très fatigués par cette journée de travail, tous les sages s’endorment sauf l’un d’entre eux, qui sent que quelque chose va survenir. Jour 2 Le noble attelage Du corps et de l’âme Le deuxième jour commence par un enseignement concernant le corps et l’âme. Frédéric Lenoir utilise ici une métaphore chaque homme est un attelage de deux chevaux mené par un cocher. Et pour apprendre à bien maîtriser cet attelage, Frédéric Lenoir nous invite à prendre en compte des choses essentielles, sans lesquelles la conduite serait dangereuse ou inefficace. Le premier cheval = le corps physique Selon la métaphore décrite par Frédéric Lenoir dans L’Âme du monde , le corps physique est le premier cheval. Il est indispensable de connaître ses capacités et ses limites. Pour cela, il faut l’entraîner avec des exercices pour Améliorer sa souplesse avec du yoga ou de la gymnastique douce. Intensifier sa tonicité en pratiquant la course ou le travail musculaire. Le mettre au repos autant que nécessaire. Le nourrir sainement. Lui apprendre à respirer en maîtrisant son souffle. En effet, celui qui maltraite son corps méprise son existence. Le deuxième cheval = le corps psychique Bien qu’invisible, cette seconde monture représente toutes les émotions que nous ressentons tous les jours. Pour cela, nous devons apprendre à nous connaître pour comprendre comment nous fonctionnons. D’ailleurs, il est important de se demander quelles sont les choses qui nous irritent ou nous font peur ou celles qui nous réjouissent et nous stimulent. Le cocher = l’âme spirituelle Notre âme est le don le plus précieux que la vie nous a offert. En réalité, elle est une partie infime de l’Âme du monde. C’est grâce à elle que nous nous émerveillons devant une œuvre d’art. Enfin, elle nous donne envie de liberté et nous permet de ressentir l’harmonie et la beauté du monde. Notre esprit se manifeste par deux voix différentes et qui s’unissent » L’intelligence tend à nous emmener vers la connaissance, la liberté et la vérité. Le cœur, quant à lui, nous enseigne l’amour. En mêlant les deux, nous avons accès à la beauté et à la justice. Si nous ne nourrissons que notre corps, nous resterons à l’état d’animal. De même en ne nourrissant que notre esprit, nous atteindrons le statut de l’ange un danger pour soi et ses congénères. Car en omettant les besoins de son corps, comme la sexualité, l’individu peut finalement tomber dans des comportements pervers. L’esprit est là pour guider cet attelage merveilleux et le maîtriser sans le dominer ou le tyranniser. C’est lui qui nous permet de prendre la bonne direction à chaque carrefour de la vie. La méditation relie le corps, le psychisme et l’esprit » Dans ce passage de L’Âme du Monde », Frédéric Lenoir nous apprend que la méditation permet de placer notre conscience dans chaque partie de notre corps. En observant nos sensations physiques et nos émotions, nous apprenons à mieux les connaître et à renforcer notre esprit. À force de pratiquer la méditation, nous fortifions notre espace intérieur et le rendons moins vulnérable face aux attaques de l’extérieur. C’est ainsi que nous pouvons faire de vrais choix, ceux qui nous donnent l’impression d’avoir donné un véritable sens à notre vie. Ce sentiment qui nous permettra de nous retourner à la fin de notre existence en ayant la sensation d’avoir cheminé vers la vérité. Épilogue de la deuxième journée À la fin de cette deuxième journée, le sage qui avait le sentiment, la veille, que quelque chose de grave allait se produire a toujours cette impression. Dès lors, il n’arrive toujours pas à trouver la sérénité. De son côté, Gabriella se montre comblée de bonheur par ce partage de sagesse pour le moins révolutionnaire, et tout à fait inédit. Elle confie alors sa joie à sa fille et l’encourage à être l’une des actrices de ce changement. Jour 3 Vas vers toi-même De la vraie liberté Cette troisième journée du livre L’Âme du Monde » de Frédéric Lenoir est consacrée à la connaissance de soi et la liberté. Et cette notion de liberté ne concerne pas seulement les hommes réduits à l’état d’esclavage. La privation de liberté la plus sournoise est certainement la prison intérieure dans laquelle nous pouvons nous enfermer. Il existe de nombreux sentiments pouvant nous priver de liberté Nos pulsions incontrôlables. Des addictions envahissantes. Une colère violente et destructrice. Les angoisses paralysantes. Une phobie insupportable, etc. Grâce à l’introspection, nous pouvons mieux nous connaître et corriger nos réactions ou nos réflexes spontanés. Cependant, cela représente un travail au quotidien nécessaire pour pouvoir avancer avec sagesse. On ne naît pas libre, on le devient. » En nous connaissant nous-mêmes, nous pouvons maîtriser nos peurs qui remontent souvent à la petite enfance. Cela ne se fait pas en un claquement de doigts, il est important de procéder par étapes. Lorsque nous accomplissons des actes positifs qui se succèdent, nous apprenons à changer de façon progressive. Cela est aussi vrai pour les actes de courage, les réactions impulsives ou les pulsions sexuelles. Frédéric Lenoir souligne qu’il est alors important de nous détacher des objets qui nous entourent. C’est l’un des esclavages modernes les plus répandus. En effet, nous sommes habitués à considérer ces objets comme indispensables à notre existence. Mais, en réalité, prendre conscience que ces biens matériels sont secondaires est un pas important vers la liberté. De même, nous devons oublier le fait de plaire ou de déplaire aux autres. La sagesse consiste à agir sans se soucier de ce regard pesant. En réalité, quoi que nous fassions, il y aura toujours quelqu’un pour critiquer nos décisions. Nous devons réaliser ce qui nous semble juste, en faisant abstraction de ce que va penser autrui. La confiance et le juste amour de soi sont indispensables à la croissance de l’être humain, à sa liberté et à son bonheur. » Ce besoin de reconnaissance est l’une des particularités des enfants qui ont besoin de signes positifs ou négatifs pour apprendre les règles de la vie. Par contre, chez nous, adultes, c’est la confiance en nous qui doit prédominer. Aidée par le juste amour de nous-mêmes, la confiance en soi nous conduit vers la liberté et le bonheur. Nous devons également nous détacher autant que possible du conditionnement familial et social qui nous a été transmis. Cela peut paraître effrayant, mais nous devons garder à l’esprit que ces enseignements sont chargés de préjugés et d’à priori. C’est à chacun de nous de trouver sa propre vérité dans ces fondements. C’est aussi valable pour la religion à laquelle nous ne pouvons adhérer sans se questionner réellement sur ces principes. Nous devons chercher notre propre vérité pour espérer accéder à la liberté. Connais-toi toi-même, et tu connaîtras le monde et les dieux. » Se connaître soi-même est indispensable pour démêler le faux du vrai, le juste de l’injuste ou le nécessaire du superflu. Car nous avons notre propre vision du monde qui nous entoure. Cet univers que nous portons dans notre cœur n’est pas le reflet du monde, mais celui que nous percevons. En fonction de notre sensibilité, de notre culture, de nos émotions et de notre esprit, nous voyons le monde à notre façon. Grâce à un effort spirituel et psychologique, nous pouvons réellement travailler et faire grandir notre perception du monde qui nous entoure. Épilogue de la troisième journée À la fin de cette troisième journée, Maître Kong vient rencontrer Cheik Youssuf pour lui dire que sa femme a tenté de le contacter à plusieurs reprises. Quelques instants plus tard, il apprend au groupe que sa petite fille est en train de mourir. Il a le réflexe immédiat d’implorer Allah et se met à pleurer. La chamane Ansya s’empare alors de son tambour et commence à danser. Pendant une heure, qui leur paraît une minute tant ils sont absorbés par la scène, Ansya entre en transe. Puis, elle se met à hurler avant de s’effondrer sur le sol. Lorsque Ansya reprend ses esprits, elle leur annonce doucement que tout va bien et que le mal a quitté le corps de la fillette. Gabriella explique à sa fille que la chamane a été l’instrument de l’Âme du monde pour venir en aide à leur ami. Jour 4 Ouvre ton cœur De l’amour Le quatrième jour, il est question d’évoquer l’amour, cette puissante énergie issue de l’Âme du monde. Si l’amour est capable de prendre mille formes, c’est à chaque fois une preuve de lien et de don. Du moment qu’il n’est pas étouffé par notre ego, ce sentiment nous apprendra qu’il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’il te fasse. » Cette Règle d’or dont parle Frédéric Lenoir est mise en avant dans les cultures du monde entier. Pour autant, elle est dictée par la sagesse et non par l’amour. Ce dernier s’en félicite, mais il ne répond à aucune loi. Tandis que la loi est une affaire de raison, l’amour, lui est une affaire de cœur. Cet amour se retrouve dans de nombreuses personnes et dans les liens qui les unissent. Cela va de l’amour maternel en passant par l’amour de deux amants jusqu’à l’amour du disciple pour son maître. Il existe aussi un amour tourné vers les animaux et la terre. C’est aussi le moyen de réaliser que sans les autres, nous ne sommes pas grand-chose. Pour autant, c’est la relation que nous avons eue avec nos parents qui va déterminer de nombreuses choses en amour. Selon que nous avons été mal ou trop aimés, nous allons développer des relations amoureuses en fonction de cela. Ainsi, il est primordial de guérir ces blessures et de combler les manques liés à l’enfance pour pouvoir nous aimer nous-mêmes. Alors, nous serons capables d’aimer les autres de manière libre et vraie. L’amour est un échange permanent entre le monde et nous. » Pourtant, nous devons aussi nous méfier et ne pas confondre tous les visages de l’amour avec celui de la passion amoureuse. Comme celle-ci est souvent illusoire, nous sommes tentés de n’en retenir que le désir sexuel. Or, entre deux amants, il existe aussi une amitié et une tendresse perceptibles. De même, dans son livre L’Âme du Monde », Frédéric Lenoir explique que Tous les êtres n’ont pas le même rapport à la vie amoureuse. Certains partageront plusieurs passions amoureuses, tandis que d’autres n’auront qu’une seule et magnifique expérience dans leur vie. Il ne faut pas réduire cet amour à un sentiment vis-à -vis des autres. Il peut aussi s’exprimer dans l’éclosion d’une fleur, le passage d’un nuage ou un animal. Le message de l’amour est qu’il est bon d’aimer le monde, l’univers et la vie. Cet amour universel est ce par quoi, nous allons transformer notre façon d’être et de vivre. Cet amour est un sentiment qui n’a pas de limites. Il n’attend rien de l’autre sinon d’exister. Il n’y a plus de moi » ni autres », il y a simplement nous ». Peu importe le genre, les cultures ou les religions, il ne reste que cet amour qui englobe tout et tous. L’amour est un lien qui ne nous emprisonne pas. Il est source de désir sans être responsable de possession. Il est à l’origine de nos pleurs, mais pas responsable de nos souffrances. L’amour nous ouvre les portes de l’univers dans son intégralité. Épilogue de la quatrième journée À l’issue de cette quatrième journée, Natina et Tenzin sortent un peu sonnés de cette nouvelle journée d’enseignement. Il faut dire que la jeune fille est bouleversée. En effet, elle commence à se rendre compte à quel point son existence et celle de Tenzin sont différentes. Et cela la rend triste et en colère. Comment un jeune homme élevé pas les moines pourrait-il comprendre qu’elle a soif d’aventure et d’expériences ludiques ? Mais le garçon réussit à trouver les mots justes il lui raconte que son expérience l’a privé de choses essentielles, mais qu’elle lui a aussi enseigné le sens profond de la vie. Et si le jeune homme devait quitter le monastère, au moins, aurait-il reçu ce précieux cadeau de connaître l’existence humaine. À ce moment-là , Natina et Tenzin réalisent qu’ils s’aiment, même s’ils ne sont pas tout à fait sûrs de la nature de cet amour. Jour 5 Le jardin de l’âme Des qualités à cultiver et des poisons à rejeter Le cinquième jour est dédié à l’identification de ce qui est bon et de ce qui est mauvais pour celui qui est en quête de sagesse. De cette manière, nous pourrons ensuite développer ce qui nous fait grandir et faire disparaître ce qui nous abaisse. Pour cela, nous nous attacherons à nourrir ce qu’il y a de bon et de juste en nous et à affamer ce qui est mauvais ou négatif. Il est, par contre, impératif de commencer à s’entraîner très tôt pour cultiver le jardin de notre âme. En effet, en vieillissant nous avons plus de difficultés à changer nos habitudes et plus nous commencerons tôt, plus nous aurons de chance d’en récolter les fruits. Prenez dès à présent, et chaque jour, bien soin du jardin de votre âme. » Voici les 20 recommandations de Frédéric Lenoir dans son livre L’Âme du Monde », pour faire pousser les bonnes graines et enrichir notre âme. Il s’agit de cultiver L’émerveillement Ne laissez jamais votre esprit s’endormir. Pour cela, soyez curieux et contemplatifs, cela vous mènera à la vérité. L’effort Il est important d’accomplir chaque jour des choses, si petites sont-elles. Pensez à vous reposer, mais éloignez la paresse de votre quotidien. La douceur C’est le meilleur moyen d’exprimer votre attachement envers vous-mêmes et les autres. La colère peut s’exprimer, mais elle doit être maîtrisée. La bonne humeur, la gaieté, l’humour L’humour est une arme de taille pour prendre du recul et garder un regard positif et ainsi mieux appréhender vos difficultés. La foi et la confiance Ce sont les deux principaux piliers que vous devez avoir posés pour mener votre vie à bien. Sans elles, vous ne pourrez pas avancer de manière positive. La générosité C’est en étant ouvert et généreux que vous pourrez devenir heureux. Au contraire, la mesquinerie et l’égoïsme ne mènent jamais à la liberté. Le courage et la force Soyez plus forts que vos peurs en les apprivoisant et en vous débarrassant d’elles. La bienveillance et la bonté En étant patients et compréhensifs avec les autres vous découvrirez qu’ils existent des forces de bonté immenses dans tous les cœurs. L’esprit de vérité La vérité et la sincérité sont des atouts indispensables pour atteindre la liberté. Le mensonge est l’un des principaux poisons de l’existence humaine. La souplesse Apprenez à vous adapter aux changements qui pourraient survenir en vous et autour de vous. La rigidité vous empêchera d’évoluer selon le flux de votre vie. La justice L’injustice est un sentiment proprement inacceptable. Attention toutefois à ne pas confondre la justice qui est le fruit d’agissements à une forme qui s’apparenterait plus à un sentiment de jalousie. L’humilité Souvenez-vous que chaque être est perfectible et que l’humilité n’est pas un signe de faiblesse ou de rabaissement. Par contre, l’orgueilleux et son ego sont ridicules. Le contentement et la sobriété L’une des grandes clés du bonheur réside dans ce précepte. En retrouvant le goût des choses simples, vous atteindrez plus facilement la liberté. La gratitude Que vous soyez dans une période prospère ou moins avantageuse, essayez de remercier en permanence ce que la vie vous envoie comme messages. La prudence Faîtes preuve de lucidité et de prévoyance avant d’agir. L’impulsivité est l’ennemie de la garantie du bien vivre ensemble. La tempérance Elle est à mi-chemin entre l’ascétisme et la débauche et vous assurera de mener votre vie avec assurance. La patience Avec la persévérance, la patience vous aidera à vaincre les obstacles ou les découragements que la vie vous imposera. Elles sont complétées par la constance. L’esprit de service L’homme noble s’accomplit très bien lorsqu’il sert les autres. Attention, celui qui domine ne sera pas dans le juste, car il nourrit l’asservissement du monde. Le pardon et la miséricorde Dans votre vie, vous n’arriverez pas toujours à être justes avec les autres. Il en est de même pour eux, et vous devrez apprendre à leur pardonner. La tolérance Restez ouvert à d’autres visions de la vie que votre propre culture vous a enseigné. Ce qui est vrai dans un contexte peut être totalement biaisé dans une autre. Fuyez les postures dogmatiques et privilégiez l’élargissement de votre compréhension du monde et de la vie. Épilogue de la cinquième journée Il y a un sage qui a de plus en plus de difficultés à supporter que l’on puisse mettre toutes les religions à un égal niveau. Il a, dans sa tête, une voix qui résonne elle lui dit que mettre sa religion au même niveau que les autres est une grave erreur et qu’il va devoir en rendre compte le jour du jugement dernier. Le sage décide alors de quitter les lieux dès le lendemain. Mais la voix dans sa tête l’interpelle à nouveau. Il est désormais trop tard. Partir ne changera rien. Le seul moyen d’arrêter cette folie est de tuer le jeune moine qui pourrait transmettre ces préceptes intolérables. Mais il aime le Dieu de la vie, il ne peut pas se réduire à ça ! La voix lui rétorque alors que le fait de tuer peut être justifié par le danger encouru par la vraie foi une vie n’est décidément pas grand-chose à côté de la Vérité éternelle. Le sage s’exécute alors. Il s’empare d’un couteau pour aller dans la chambre de Tenzin. Alors que, dans sa tête, deux voix s’opposent pour lui dicter ce qu’il doit faire, un serpent mortel fait son apparition. Le sage le tue et lorsque le jeune garçon se réveille, il le prend dans ses bras pour le remercier de l’avoir sauvé. À la fin de cette cinquième journée, le sage répond à l’enfant Et toi, tu m’as redonné la vie ! Tu as aidé mon cœur à passer de la peur à l’amour. » Jour 6 Ici et maintenant De l’art de vivre Le sixième jour est consacré à l’aptitude à se réaliser pleinement. Frédéric Lenoir insiste sur l’importance d’adopter le juste comportement et explique que vivre est un art. Pour cela, il faut impérativement s’éloigner des extrêmes et ne pas réfléchir de façon binaire. La vertu réside dans le juste-milieu, entre deux extrêmes » Pour Frédéric Lenoir, cela va se traduire dans notre rapport aux choses et aux êtres par un attachement qui ne doit pas se transformer en possession. Ce genre de sentiment est un poison dont nous devons nous défaire au plus vite. Il est parfaitement normal de ressentir des sentiments comme la jalousie. Pour autant, il faut faire en sorte de travailler sur le détachement. En effet, nul n’est immortel et un jour viendra où nous devrons accepter la séparation d’avec nos êtres chers. Nous sommes nés seuls et nous mourrons seuls » Il en est de même pour tout ce qui nous permet de vivre une existence agréable la santé, le travail, la maison ou encore l’honneur. En adoptant une attitude d’équanimité, c’est-à -dire une distance juste avec les événements heureux ou tristes de notre vie, nous atteindrons la sérénité. Cela ne veut pas dire que nous ne sentirons rien, mais plutôt que nous serons en paix. Pour entendre la musique de l’Âme du monde, nous avons besoin de silence » Frédéric Lenoir nous apprend ici à accorder chaque jour du calme à notre esprit. De la même manière que notre corps a besoin d’air, notre esprit a besoin de silence. Et c’est de celui-ci que vont découler les meilleurs fruits de l’âme. L’amour, la compréhension, la douceur et la joie en sont de parfaits exemples. C’est de cette manière que nous pourrons nous relier à notre source et pour cela, il n’est pas besoin d’être croyant. Pour certains, cela se traduira par des prières, mais nous pouvons également ressentir notre cœur vibrer à l’unisson du cœur du monde. De même, cette connexion nous permettra de développer des intuitions » qui nous aideront à agir dans certaines situations délicates. Selon Frédéric Lenoir, elles peuvent également se traduire dans une pratique artistique ou intellectuelle. Vos pensées sont aussi importantes que vos actions » Nos pensées négatives peuvent être blessantes pour les autres et nous encombrent d’énergie négative. À l’inverse, une pensée aimante sera capable de soulager une personne même à distance et illuminera notre âme. Enfin, c’est en développant des pensées positives à propos de nous-même que nous embellirons notre existence. Si nos pensées sont puissantes, nos paroles le sont aussi » C’est ainsi que l’un des sages de l’Âme du monde nous conseille d’apprendre à maîtriser nos propos. D’ailleurs, ils peuvent détruire une vie ou la combler en un éclair. Les conséquences de nos paroles sont considérables, et certains hommes arrivent d’ailleurs à entraîner des foules et à dominer des peuples. Pour exceller dans la maîtrise de nos paroles, il faut travailler leur vérité et leur bonté pour aboutir à des paroles utiles. Dans le cas contraire, il est préférable de les oublier. Efforcez-vous d’avoir des actes et un mode de vie justes » L’idée développée dans ce chapitre de L’Âme du monde » par Frédéric Lenoir est qu’il faut essayer d’agir tous les jours selon nos convictions et nos principes. En effet, il est plus simple d’avoir de bonnes pensées que de les appliquer. Il en est de même en ce qui concerne notre manière de vivre. Ainsi, nous devons prendre garde d’avoir une vie équilibrée, juste et bonne. Vivre l’instant » L’un des sages raconte l’histoire d’un roi qui a envoyé ses disciples chercher les principaux enseignements de la sagesse dans le monde. Plusieurs années plus tard, ils revinrent chargés de livres. Le roi leur demanda de les résumer, encore et encore jusqu’à ce qu’ils ne deviennent qu’une seule phrase. Comme il allait mourir, le roi demanda à son meilleur disciple de lui livrer le fameux message. Ainsi, il lui répondit que cela tenait en deux mots vivre l’instant. Soyez présents à tout ce que vous faites » Un autre sage nous apprend qu’il est très important de vivre ici et maintenant, car le manque d’attention nous empêche de vivre pleinement notre existence. En pratiquant cet exercice, notre expérience spirituelle en sera grandie. De la même manière, nos relations avec les autres seront améliorées. Ensuite, il va même plus loin en nous précisant que cette qualité d’attention intervient dans tout notre organisme. Elle régule notre tension musculaire, notre rythme cardiaque et améliore aussi notre mémoire et notre bien-être. Enfin, l’une des principales clés de la réussite dans notre rapport à l’Âme du monde est d’être attentif en toutes circonstances. Épilogue de la journée Le soir du sixième jour du livre, les sages de l’Âme du monde sont à la fois heureux et tristes. En effet, ils ressentent le soulagement d’avoir avancé dans l’enseignement, mais ils savent que leur séparation approche. Ils ont beaucoup évolué au fil des jours et ils savent qu’une nouvelle existence s’offre à eux. Pourtant, dans la nuit, un phénomène inexplicable se produit. Alors que les chiens hurlent à la mort, il se met à faire jour en pleine nuit. Ils tombent d’accord sur le fait qu’il leur faut terminer rapidement leur tâche. Et dès le lendemain, tous redeviennent aussi sérieux et studieux qu’au premier jour pour délivrer la dernière clé de la sagesse. Jour 7 Le bonheur et le malheur sont en toi De l’acceptation de ce qui est Pour le dernier jour, Frédéric Lenoir met l’accent sur l’importance d’accepter le réel. La voie royale, celle qui est le couronnement de la sagesse, c’est d’acquiescer à la vie » En effet, si nous sommes gagnés par une maladie, il vaut mieux accepter sa présence et tout faire pour en guérir que de l’ignorer. Il en est de même pour nos propres caractéristiques. Déjà , apprenons à nous accepter puis nous essayerons ensuite de gommer ce qui nous déplaît en nous. Ensuite, nous ne pouvons pas toujours tout contrôler et nous devons apprendre à lâcher prise. De la même manière, il faut garder à l’esprit que les épreuves arrivent souvent par notre faute et qu’elles sont les conséquences de nos actes. Ne demande pas que les éléments arrivent comme tu le souhaites, mais souhaite-les comme ils arrivent et tu seras heureux » Ce sont nos pensées qui provoquent bien des situations de notre existence. Lorsque nous sommes négatifs, nous voyons en toutes choses des signes venant confirmer cette pensée. De la même manière, un homme peureux peut de par son attitude attirer le danger et se faire agresser. Frédéric Lenoir propose ici aux sages de l’Âme du monde de donner les grandes lois de la vie à suivre, pour ne pas être troublé Tout acte produit un effet. » Les obstacles sont des marches qui nous font monter. » Apprenez à ne rien refuser de la vie. » Ne rejetez pas la part d’ombre, de brouillard, de ténèbres que vous portez en vous. » Apprenez à accueillir et à aimer vos fragilités. » Le monde, vase spirituel, ne peut être façonné. » Ne recherchons jamais la souffrance… et, n’essayons pas de l’éviter. » Il n’y a pas de métamorphoses sans douleur. » Notre vie est tissée de fils visibles et invisibles. » Nous ne pouvons pas nous libérer du monde, mais nous pouvons nous libérer de notre monde. » Frédéric Lenoir raconte ensuite l’histoire d’un sage qui rencontre un guerrier. Ce dernier lui demande qu’elle est la différence entre le paradis et l’enfer. Comme il le renvoie à sa triste existence, le guerrier se met en colère et le menace de mort. Le sage lui dit que c’est cela l’enfer. Devant son aplomb, le guerrier s’attendrit. Le sage lui explique alors que c’est cela le paradis. Puis un autre sage explique aux enfants qu’il faut apprendre à passer de la conscience égotique à la conscience universelle. La première est le fruit d’une dualité entre moi et le monde. Dans la seconde, il n’y a pas de séparation entre le monde et moi. Mon seul désir est d’être pleinement présent et ouvert au monde tel qu’il est » Lorsque nous atteignons cet état d’être, nous pouvons considérer que nous sommes devenus un éveillé ou un sage. Et c’est à cela que l’Âme du monde aspire pour tous les hommes sur terre. Pour Frédéric Lenoir, le principal chemin de la vie va nous aider à passer de L’ignorance à la connaissance. L’obscurité à la lumière. L’esclavage des sens à la liberté de l’esprit. L’inaccompli à l’accompli. L’inconscience à la conscience. La peur à l’amour. C’est à cela que correspond la quête de la sagesse, qui est offerte à tous quelles que soient leur origine et leurs conditions de vie. Il suffit d’en avoir un désir profond, et l’univers s’ouvrira à nous. Troisième partie de L’Âme du monde Et l’obscurité se fera sur toute la Terre Dans cette troisième et dernière partie de L’Âme du Monde », l’enseignement des clés de la sagesse est terminé. À présent, tous les sages de l’Âme du monde sont rentrés chez eux. – La grotte Le jeune Tenzin est trop triste pour rester au monastère. Il décide d’aller méditer dans une grotte. Avec l’accord de Lama Dorjé, il part pour une longue marche et parvient à l’ermitage trois jours plus tard. – Colère C’est à ce moment-là que la catastrophe se produit. Un gigantesque cataclysme s’abat sur la terre. La planète n’est plus qu’un nuage de poussière. Tenzin reste pendant quarante jours à l’abri dans sa grotte en attendant que la poussière ne retombe. C’est alors qu’il entend le chant d’un oiseau. Pourtant, aucun animal terrestre n’est visible à l’horizon. L’adolescent s’interroge ses amis moines de l’Âme du monde, ont-ils péri eux aussi ? – Désolation Alors que la terre a été totalement bouleversée par la catastrophe, Tenzin comprend qu’il ne trouvera aucun survivant. En outre, la montagne a tout bonnement disparu et les vestiges du monastère avec elle. Il se rappelle alors une anecdote qui lui est arrivée quelques années auparavant, lorsqu’une femme est venue au monastère s’entretenir avec les moines pour leur demander pourquoi son fils de 5 ans était mort. Alors que les moines interrogeaient l’esprit du petit garçon mort, ce dernier leur rétorqua qu’il ne souhaitait pas revenir, car il avait déjà été réincarné de nombreuses fois. À ce moment-là , le visage de Lama Tokden Rinpoché, sa précédente réincarnation lui apparaît ; il se lance immédiatement dans la recherche de son mausolée. Une fois trouvé, il découvre une lettre dans les ruines de l’édifice. – La lettre Cette lettre a été écrite par un lama et destinée à sa future réincarnation. Dans celle-ci, le grand sage avait anticipé sur les événements qui allaient se produire. De la même manière, il savait que quelques hommes survivraient et que Tenzin en ferait partie. Il aurait alors comme destinée de parcourir le monde et d’enseigner ce qu’il avait appris. Bien entendu, il devrait également le mettre en pratique. Le jeune homme sera amené à enseigner ces lois de la sagesse sans servir un clan ou une ethnie au détriment d’une autre. Pour conclure, la lettre se termine par une note d’espoir puisse ton corps rester dans la joie ». – L’espoir Après une nuit de repos, Tenzin part, ragaillardi pour délivrer son savoir sur la sagesse. Il repense avec tristesse à tous ses amis moines disparus. Quand il se décourage, il ânonne le prénom de Natina. C’est elle qui lui donne le courage d’avancer. Car il en est maintenant sûr, son deuxième vœu est bien de la retrouver. Conclusion de L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir Un livre pour déconnecter et voyager dans un monde plein de sagesse et de poésie À mi-chemin entre la philosophie et les contes traditionnels, L’Âme du monde » est un ouvrage captivant ! En effet, l’auteur a le talent de maintenir le suspense jusqu’à la fin de son histoire, et cela, tout en délivrant un contenu hautement philosophique. Par ailleurs, en situant son récit dans un temple au cœur du Tibet, Frédéric Lenoir nous transporte dans un univers rempli de sagesse et de poésie. En ce sens, L’Âme du monde » est une lecture excellente pour déconnecter, imaginer et voyager ! Une invitation à réfléchir sur des préceptes philosophiques et spirituels universels Frédéric Lenoir condense sa pensée philosophique en 7 principes mais il y a, en réalité, d’innombrables leçons de sagesse à tirer de ce livre. En effet, L’Âme du monde » est une lecture qui induit de manière quasi incontournable une réflexion personnelle sur des principes qui concernent chaque être humain l’amour, par exemple, qui a le pouvoir de réunir les êtres a priori les plus différents on pense alors aux liens d’amour qui se tissent entre Natina et Tenzin, le sens à la vie, la recherche du bonheur, la quête spirituelle, etc. Un appel à plus d’humanité ? Dans L’Âme du monde , Frédéric Lenoir met en scène une histoire qui fait vivre différents personnages incarnant chacun une religion ou une croyance qui lui est propre. Et finalement les sages se découvrent beaucoup plus de points communs qu’ils ne l’imaginaient. Nous ne pouvons nous empêcher d’y voir un appel à la tolérance et un témoignage de savoir-vivre ensemble. C’est en échangeant et en partageant des expériences communes que les sages de L’Âme du monde » ont pu se comprendre, ne pas se laisser diviser par leur religion et créer un monde qui se veut meilleur. Si de rares personnes peuvent y voir une forme de mièvrerie bien-pensante, d’autres y verront l’opportunité d’en tirer, chacun à son échelle, des clés à partager pour contribuer à plus d’humanité. Bref, L’Âme du monde » est un livre inspirant, essentiel et qui plus est, un énorme best-seller écrit par un auteur référent dans le domaine ! Points forts du livre L’âme du monde Le sentiment d’immersion totale dans un univers très propice au sujet. Le style de l’auteur captivant, clair et imagé. L’histoire pleine de sagesse et de poésie. L’incontournable réflexion personnelle que cette lecture suscite. Points faibles du livre L’âme du monde Il faut se familiariser avec les noms des personnages, parfois un peu complexes. Les sages prennent la parole chacun leur tour sans être réellement identifiés. C’est très certainement une volonté de l’auteur qui nous laisse ainsi l’entière liberté à imaginer ; cependant, on ne sait donc pas toujours qui s’exprime et cela est parfois déroutant. Ma note Avez-vous lu “L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir ? Combien le notez-vous ? 5 votes, moyenne 4,20 out of 5Loading...Visitez Amazon afin de lire plus de commentaires sur le livre L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir Visitez Amazon et achetez le livre L’Âme du monde » de Frédéric Lenoir Recherches utilisées pour trouver cet article lâme du monde 7 leçons
Buste d’Epicure Comme Epicure le rappelle au début de la Lettre à Ménécée, l’objectif principal de la philosophie est de se débarrasser des troubles de l’âme. Pour cela, le philosophe propose un remède efficace en vue d’évacuer la crainte des dieux et la peur de la mort la connaissance de la nature des dieux et de la nature humaine. Comme nous l’avons vu dans le premier billet de cette série consacrée à l’éthique épicurienne, les deux premiers éléments du quadruple remède permettent au philosophe débutant de se rapprocher, peu à peu, de l’ataraxie, cette absence de troubles liée au bonheur, finalité de l’éthique épicurienne. Mais l’absence de trouble psychique ne suffit pas, pour Epicure, à garantir le bonheur. Qu’en est-il, en effet, de la douleur physique ? Autrement dit, quelle est la place du corps et du plaisir associé à lincarnation de l’âme dans l’éthique épicurienne ? Pour Epicure, plus encore que pour les stoïciens, la place et le rôle du corps dans la manière de vivre épicurienne est centrale, et ne peut être détachée de la recherche du bonheur de l’âme, comme le montre la deuxième partie de la Lettre à Ménécée, que nous allons parcourir ensemble dans ce billet. Pour Epicure en effet, le trouble de l’âme peut être lié à la douleur ressentie par le corps, dès lors que la douleur corporelle est également ressentie par l’âme. L’éthique épicurienne exige donc une maîtrise du corps et de ses affections. De ce fait, la Lettre à Ménécée propose une véritable thérapie de l’âme et du corps, qui passe notamment par l’ascèse ou le contrôle des désirs, à la recherche d’un plaisir stable apportant le bonheur. L’ascèse des désirs et la santé du corps Le contrôle des désirs associé à l’éthique épicurienne et la santé du corps qui accompagne ce contrôle sont étroitement liés à la classification des désirs proposée par Epicure dans la deuxième partie de la Lettre à Ménécée[1]. Le philosophe y présente en détail les différents types de désirs éprouvés par l’être humain et justifie par la même occasion le contrôle des désirs, puisqu’il permet de conserver la santé de l’âme et du corps, sous la double forme de l’ataraxie et de l’absence de douleurs physiques aponie Et il faut voir […] que parmi les désirs, certains sont naturels, d’autres vides, et que parmi les désirs naturels, certains sont nécessaires, d’autres seulement naturels ; et parmi les désirs nécessaires, certains sont nécessaires au bonheur, d’autres à l’absence de perturbations du corps, d’autres à la vie même. En effet, une observation sans détour de ces distinctions sait rapporter tout choix et tout refus à la santé du corps et à l’ataraxie, puisque telle est la fin de la vie bienheureuse[2]. Ce passage distingue clairement les différents types de désirs que l’être humain éprouve, et met en avant l’importance des désirs naturels et nécessaires pour atteindre le bonheur, défini par Epicure comme absence de troubles psychiques, ou ataraxie. Mais ces désirs naturels et nécessaires permettent également l’absence de douleurs physiques, ou aponie. Santé de l’âme et du corps sont ainsi liées à la réalisation de ce type de désirs. En outre, les désirs naturels et nécessaires sont essentiels pour le maintien en vie de tout être humain. Passons maintenant en revue les trois types de désirs décrits par Epicure, en mettant l’accent sur ceux qu’il convient de suivre ou de rejeter en vue du bonheur 1- les désirs naturels et nécessaires Les désirs naturels et nécessaires sont indispensables à la vie bienheureuse, que ceux-ci apportent l’ataraxie, l’absence de troubles physiques, ou simplement la vie, comme on vient de le voir. Désirer boire et manger lorsque l’on a faim et soif est un désir naturel et nécessaire, par exemple. Nous reviendrons plus bas sur l’importance de ces désirs dans la définition épicurienne de la vie bienheureuse. 2- les désirs naturels et non nécessaires Les désirs naturels et non nécessaires, quant à eux, ne sont pas mauvais, car naturels, mais ne méritent pas d’être poursuivis de manière inconditionnelle ou excessive. Ainsi, désirer bien manger et boire de délicats breuvages est naturel, certes, mais non nécessaire. Les désirs naturels et non nécessaires correspondent ainsi à des fonctions naturelles, et peuvent être satisfaits sans que leur non satisfaction soit dangereuse on pourrait s’en passer, comme on peut se passer de boire lorsqu’on n’a pas soif. Néanmoins, ces désirs naturels et non nécessaires deviennent vides par excès et dérèglement. Comme pour Aristote, et loin de l’image ordinaire que l’on se fait de l’épicurien, c’est la juste mesure qui l’emporte dans l’usage de ce type de désirs Parmi les désirs naturels qui ne reconduisent pas à la souffrance s’ils ne sont pas réalisés, ceux où l’ardeur est intense sont les désirs qui naissent d’une opinion vide, et ils ne se dissipent pas, non pas en raison de leur propre nature, mais en raison de la vide opinion de l’homme[3] ». On voit là le danger que représentent pour l’homme les désirs naturels et non nécessaires la non-satisfaction de ces désirs, et la souffrance associée au manque que nous pouvons éprouver, quand bien même il s’agit de biens non nécessaires. Si je prends l’habitude de mets délicats, je risque de ressentir un certain manque et de souffrir lorsque, pour une raison ou une autre, les circonstances de la vie font que je dois me contenter d’une nourriture plus simple et moins appétissante. De même, si je suis attaché à boire quotidiennement un verre de vin pour accompagner mon repas, il y a de fortes chances que je sois bien en peine de ne pas être affecté par le verre d’eau dont je dois désormais me contenter. Si ce type de désirs naturels ne sont pas nécessaires, et doivent être abordés avec prudence, ils sont importants néanmoins, dans le sens où ils permettent une variation des plaisirs, comme nous le verrons plus loin. En effet, boire sans avoir soif, c’est boire pour le plaisir. Et la variation des plaisirs qu’une bonne glace peut apporter, par exemple, est essentiel à l’effacement des douleurs physiques et psychiques auxquelles nous sommes confrontés à un moment donné dans notre vie. 3- les désirs non naturels et non nécessaires Les désirs non naturels et non nécessaires sont à éviter absolument. Ce sont des désirs vides qui naissent d’opinions vides c’est par exemple le désir d’être immortel. Inutile d’expliquer en quoi ces désirs ne peuvent engendrer que la souffrance, étant donné l’impossibilité de leur réalisation. Revenons plutôt sur la première catégorie de désirs, indispensables, pour Epicure, à la vie bienheureuse, afin de comprendre en quoi ce type de désirs apporte au philosophe la paix de l’âme et du corps. Le bonheur à la recherche d’un plaisir stable La classification des désirs opérée par Epicure met clairement en avant les désirs naturels et nécessaires. En effet, ce sont ceux qui contribuent au bonheur et à la paix du corps, mais aussi à la vie. Pour Epicure, la paix du corps et la vie ne sont pas des fins en soi, mais sont les conditions préalables au bonheur, qui lui est une fin en soi. Epicure propose en effet une définition négative du bonheur comme un état dans lequel on n’éprouve aucune affection douloureuse venant du corps ou de l’âme. Mais le bonheur ne se réduit pas à la paix du corps, que permet la satisfaction des désirs naturels et nécessaires. Certes, la paix du corps ou l’absence de douleur physique est un élément important de la vie bienheureuse, mais elle n’a de valeur qu’en vue de la paix de l’âme. En d’autres termes, le bonheur est un état de paix qui réalise une certaine plénitude de l’âme et du corps, plénitude qui se caractérise avant tout par une absence de troubles Car ce pour quoi nous faisons toutes choses, c’est ne pas souffrir et ne pas être dans l’effroi ; et une fois que cela se réalise en nous, se dissipe toute la tempête de l’âme, puisque le vivant n’a pas à se diriger vers quelque chose comme si cela lui manquait, à la recherche de ce qui permettrait au bien de l’âme et à celui du corps d’atteindre leur plénitude[4]. Rien ne manque à celui qui est heureux, nous dit Epicure. Et en effet, le bonheur défini comme absence de douleur physique et psychique, plénitude du corps et de l’âme, est incompatible avec toute idée de manque. La plénitude du sage épicurien Cette définition négative du bonheur, cette absence de troubles qui caractérise la vie bienheureuse, conduit le philosophe épicurien à une certaine ascèse des désirs car nul plaisir n’est nécessaire si le plaisir procuré par l’ataraxie, cette plénitude du corps et de l’âme, est présent. Il s’agit seulement, lorsque cela est nécessaire, d’opposer le plaisir d’un bon verre de vin, ou d’une discussion entre amis à la douleur actuelle physique ou psychique. Et une fois la douleur supprimée par le plaisir associé à la réalisation de désirs naturels et non nécessaires ou au souvenir de sa réalisation, la recherche du plaisir n’est plus une priorité. Un plaisir stable et profond est déjà présent, en effet, lorsque le philosophe atteint la plénitude du corps et de l’âme que l’on nomme ataraxie. Cette absence de douleur physique et psychique est bien, pour Epicure, le plus grand des plaisirs En effet, c’est à ce moment que nous avons besoin d’un plaisir, lorsque nous souffrons par suite de l’absence du plaisir ; mais lorsque nous ne souffrons pas, nous n’avons plus besoin du plaisir. Et c’est pour cette raison que nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse[5]. Il s’agit donc en définitive de ne pas souffrir et ne pas être dans l’effroi, en s’aidant pour cela de certains plaisirs, mais dans le seul but de faire cesser la douleur et d’atteindre l’ataraxie. De cette définition du bonheur va découler, pour Epicure, une réflexion approfondie sur le plaisir, principe et fin de la vie bienheureuse. Nous verrons dans le prochain billet quels sont les différents types de plaisir, et en quoi le calcul des plaisirs permet au philosophe épicurien de conserver la paix de l’âme et du corps essentielle au bonheur. [1] Classification déjà esquissée par Platon dans la République 558d. [2] Epicure, Lettre à Ménécée, 127-128, trad. Balaudé. [3] Epicure, Maximes capitales, XXX. [4] Epicure, Lettre à Ménécée, 128. [5] Idem Crédits photo Epicurus, par franzconde, Licence CC BY ; Treat at Häagen-Dazs, par Jean-Christophe, Licence CC BY-NC-SA; Etang en plénitude, par marief este, Licence CC BY-NC-SA. Citer ce billet Maël Goarzin, "Epicure et le bonheur de l’ascèse des désirs à la recherche d’un plaisir stable". Publié sur Comment vivre au quotidien? le 20 septembre 2018. Consulté le 23 août 2022. Lien
Vous êtes ici accueil > L'homme et la vie > L'homme est composé d'un esprit, d'une âme et d'un corps L'homme est souvent perçu comme un corps animé de vie et d'intelligence. Cette vision est-elle juste ? Quelle est la nature réelle de l'homme ? Et qu'appelle-t-on l'âme ? L'homme est composé d'un esprit, d'une âme et d'un corps. L'âme et l'esprit cohabitent dans le corps. L'esprit est ce que l'homme est vraiment, ce qu'il a conscience d'être. L'âme guide l'esprit et donne vie au corps. Le corps est l'habitacle de l'esprit dans le monde physique. L'esprit est ce que nous sommes vraiment L'esprit est le siège de la conscience. Il pense, apprend, raisonne, décide. Il a reçu de nombreux dons intelligence, logique, mémoire, imagination, aptitude à décider, etc. Donc l'esprit dispose d'une certaine autonomie, d'une certaine liberté. Il a la possibilité de faire des choix. DIEU ne lui dicte pas sa volonté. L'esprit est aussi ce qui a des émotions et des sentiments. C'est l'esprit qui ressent l'amour, la confiance, la peur, etc. DIEU a créé l'esprit en le laissant volontairement inachevé, au contraire de l'âme. L'esprit doit utiliser ses dons et sa liberté pour "achever" sa création. Il doit chercher à devenir un être parfait, pour retourner à DIEU et pouvoir se fondre avec lui. L'âme est DIEU en nous L'âme est notre partie divine, la présence de DIEU en nous. C'est ce qui relie l'esprit à son Créateur. L'âme a la connaissance absolue et la sagesse. C'est la source de connaissance divine à laquelle l'esprit peut se connecter, par la méditation ou la prière par exemple. C'est le guide qui lui fait connaître la vérité et sentir la valeur d'une action ou d'une pensée. C'est en quelque sorte un maître spirituel. L'âme est aussi la vie. C'est l'énergie qui maintient le corps en vie. C'est ce qui fait que les organes fonctionnent "tout seuls". C'est ce qui coordonne les fonctions organiques dans un ensemble cohérent. C'est aussi ce qui les répare en cas de perturbation maladie ou blessure, par exemple. Si l'âme quitte le corps, nous mourons. De même, la vie se manifeste au moment où l'âme intègre la matière, avant que l'esprit ne s'incarne. Chez un homme, l'âme est une sorte d'intermédiaire, de "médiateur" entre l'esprit et le corps. L'esprit est immatériel, et le corps est matériel. L'âme permet à l'esprit de pouvoir être relié à un corps, de l'habiter et de l'utiliser. Le corps est l'habitacle de l'esprit dans le monde physique L'esprit habite le corps. Il y est un peu comme dans une maison. L'esprit est le plus souvent intégré au corps, mais il lui est possible d'en sortir momentanément dans certains cas. Le corps est le véhicule de l'esprit dans le monde physique. En effet, c'est en déplaçant le corps que l'esprit peut se déplacer dans le monde matériel. Le corps est la protection de l'esprit. Car l'esprit n'est pas d'une nature adaptée au monde physique. Il lui faut donc une sorte de vêtement spécial, comme il en faut un quand l'homme va dans un monde différent du sien espace, fonds marins, etc.. Le corps est aussi ce qui relie l'esprit au monde extérieur. C'est par son intermédiaire que l'esprit en prend connaissance par les perceptions telles que la vue, l'ouïe, le toucher, etc.. Et c'est en utilisant le corps que l'esprit peut agir sur le monde physique déplacer des objets, transformer la matière, etc. Chacun peut comprendre par un raisonnement ce que sont l'esprit, l'âme et le corps en lui Nous pouvons observer ce que nous sommes pour mieux nous comprendre. Nous avons des opinions, des idées, des sentiments. Nous avons aussi des souvenirs, une personnalité, un caractère. Nous pouvons évoluer et chercher à nous améliorer. Nous avons la conscience d'exister. Cet être conscient est ce qu'on appelle l'esprit. Notre corps peut se transformer nous pouvons vieillir, bronzer, nous blesser ou perdre une main. Mais nous sommes pourtant toujours la même personne. Donc nous ne sommes pas le corps. Nous sommes vivants. Mais nous ne maîtrisons pas cette vie qui est en nous. Le corps et les organes fonctionnent sans qu'on y pense. Nous pouvons très bien vivre sans chercher à savoir comment ça se passe à l'intérieur. Donc, nous ne sommes pas aux commandes de la vie qui anime le corps. Il y a autre chose, comme un chef d'orchestre qui anime et gère les fonctions organiques. Au fond de nous, nous ressentons parfois quelque chose de particulier. C'est comme une petite voix qui nous dit que nous avons mal agi dans telle circonstance, par exemple. Elle peut aussi nous orienter vers un choix que notre raison ne comprend pas. Ou elle peut nous faire comprendre une vérité qui nous surprend, comme si quelqu'un nous l'enseignait. Cette voix qui nous accompagne est différente de nous et peut nous guider si nous l'écoutons. En dehors du corps et de l'esprit, il y a donc la vie et un guide spirituel en nous. Ce sont des éléments parfaits. Ils sont la présence de DIEU en nous. C'est ce qu'on appelle l'âme.
Question d’Aviram sur l’effet de blindageDe la Mort à l’ImmortalitéLe Bouddha et la mortAlors, sommes-nous immortels ou non ? !La Mort nous sépare-t-elle?La Création de l’Âme et de l’hommeOù se trouve l’Âme?La création de l’Âme et du corpsLa vie après la viePunition pour un comportement non éthiqueL’élévation de l’âmeConnaissances UniversellesL’UEU en tant que système planétaireChangement de la conscience collectiveVoir les champs et non les réacteursLa vision du Nouveau MondeRéalité objectiveLa résurrection et la vie éternelleL’Homme et le CréateurSi notre conscience change, le monde entier changeEmotionsL’Émotion de la visionNos sens physiquesTout ce que nous pouvons voirVision de l’âmeLe Sentiment de RéactionComment le Créateur est crééLe Sentiment de la ConnaissanceSentir la connaissanceL’émotion est un immense réservoir de connaissancesFoire aux plaisirs intermédiairesL’évolution de la connaissanceUtiliser les connaissancesLe contrôle de la réalitéNous, dans notre mondeLa conscience est notre outilComment structurer notre conscienceNous changeons le monde et il nous changeLe point de basculementFaire confiance au processusLe travail négatif’’Pourquoi ça marcheLe processus de normalisationLe Sentiment de la PrésenceQu’est-ce qu’un rêve ?Rêve et voyage de l’ÂmeL’Émotion de la position Question d’Aviram sur l’effet de blindage ’Merci beaucoup M. Keshe de nous aider à nous lever et à marcher. Il y a quelques années, lors d’expériences avec des réacteurs dynamiques, l’effet de blindage a été démontré à une certaine vitesse de rotation, le bruit du moteur du réacteur et le son d’une radio ne pouvaient plus être entendus. Comment pouvons-nous créer le même effet de blindage sans utiliser de réacteurs, mais en utilisant uniquement la puissance de notre Âme ? Je sais que les bébés peuvent dormir dans un environnement très bruyant ; comment font-ils ?’’ Les bébés, plus ils sont jeunes, plus ils sont proches de l’Âme car ils n’ont pas encore été remplis des croyances collectives qui vont progressivement déstructurer leur conscience. Il est donc facile pour eux de laisser l’attention se tourner vers l’Âme et le monde matériel, avec tout le bruit que cela implique, peut disparaître. Nous ne sommes plus des bébés et la plupart d’entre nous ont perdu leur innocence, notre conscience est mal structuré. Mais une autre voie s’ouvre à nous les rêves. Comprendre le rêve nous aide à comprendre comment l’Âme fonctionne à l’état de rêve, l’Âme est moins confinée par le mental,et elle peut se déplacer librement. Dans l’état dit d’éveil, le libre arbitre à l’intérieur du mental contrôle le corps. Le plus souvent, le mental est absorbée dans le niveau de la matière. L’Âme a moins d’accès et est, pour ainsi dire, confinée dans son contenant, le flux sanguin autour du cerveau. Elle est comme un oiseau en cage. Dans l’état de rêve, l’âme de la forme physique dort », ce qui lui donne plus de liberté d’être à l’Âme ; en ces moments nous sommes dans une position détachée de l’état de matière. Normalement notre attention est presque toujours dirigé vers le mental, vers le bruit ; mais lorsque l’Âme gagne en force pendant le sommeil, notre attention se déplace hors du mental vers le niveau de l’Âme – où nous n’entendons plus le bruit. Dans un rêve, l’Âme s’étend au-delà des limites de l’état physique et elle est alors capable de communiquer avec une autre Âme. Mais cette ligne de communication peut également être dirigée vers l’intérieur pour couvrir l’ensemble du corps physique et ainsi le contrôler. Lorsque nous étendons le champ de l’Âme au-delà des limites du corps, tout ce qui se passe en dehors des limites du corps est bloqué – à moins que nous voulons le ressentir. Si nous pouvons étendre la force de champs de notre Âme au-delà du corps, nous n’entendrons plus le bruit du monde physique, mais la voix de l’Âme parce que nous sommes à l’intérieur du champ de l’Âme. De même, lorsque nous sommes à l’intérieur de la structure de la Terre, nous n’entendons pas le bruit du système solaire ; et vice versa lorsque nous sommes syntonisés avec les champs au-delà des champs de la matière, nous n’entendrons pas les bruits de celle-ci. De la Mort à l’Immortalité Message d’une mère en Russie Bonjour cher M. Mehran Keshe. Ma fille unique et bien-aimée Maria, qui avait 23 ans, est morte au cours d’une opération chirurgicale. Le monde entier s’est arrêté pour moi, la vie était divisée en avant » et après ». Je souffre beaucoup. La première année s’est écoulée depuis la tragédie, mais je ne peux pas l’accepter. Tout ce qui m’intéresse, tout le sens de ma vie maintenant, c’est de comprendre comment la vie et l’Univers fonctionnent. Cher Mehran, personne ne peut répondre à mes questions, parce que les gens ont une doctrine religieuse ou ne croient en rien du tout. Je sens qu’il est tout simplement impossible de vivre comme nous le faisons tous aujourd’hui. C’est une impasse complète et une dégradation qui mène à la destruction. Et lorsque j’ai vu par hasard vos explications sur le fonctionnement de l’univers, je sens que vous êtes parvenus à élucider le plus grand mystère – l’origine de la vie humaine. Veuillez répondre à la mère qui ne connaît pas de repos, qu’y a-t-il, au-delà et vivrons-nous encore ? Vais-je rencontrer ma fille ? Pourquoi vivons-nous ? Quel est le sens de notre apparition dans ce monde ? Je vous serais très reconnaissant de vos réponses. Quel bonheur de réaliser qu’il y a des gens qui ne pensent pas seulement à leur propre peau et à leur argent, mais aussi au développement et à la prospérité de toute l’humanité, qui se sont élevés au-dessus de tout ce qui est mesquin et secondaire. Il y a beaucoup de mères malheureuses comme moi qui ont perdu leurs enfants ; elles souffrent beaucoup et veulent connaître la vérité sur la vie et la mort. Combien notre vie serait meilleure si nous connaissions cette vérité. Je vous souhaite, à vous et à votre équipe, santé et bien-être. Meilleures salutations, ». Le Bouddha et la mort Bouddha séjournait dans un village. Une femme est venue à lui en pleurant. Son unique enfant était mort soudainement. Comme Bouddha était dans le village, les gens lui ont dit Ne pleure pas. Vas voir cet homme. Les gens disent qu’il est d’une compassion infinie. S’il le veut, ton enfant peut revenir à la vie. Alors ne pleurez pas et vas voir Bouddha. » La femme est allée avec l’enfant mort, en pleurant, et tout le village l’a suivie – tout le village a été touché. Les disciples de Bouddha ont également été touchés ; ils ont commencé à prier en silence pour que Bouddha ait de la compassion, qu’il bénisse l’enfant pour qu’il soit ressuscité. Tout le monde était immobile. Bouddha est resté silencieux. Il a regardé l’enfant mort, puis il a regardé la mère en pleurs et il lui a dit Ne pleure pas, fais juste une chose et ton enfant sera de nouveau en vie. Laisses corps mort ici, retournes à la ville, va dans chaque maison et demandes à chaque famille si quelqu’un est déjà mort dans leur maison. Si tu trouves une maison où personne n’est jamais mort, alors demandes quelque chose à manger, du pain, du riz, ou n’importe quoi d’autre, mais assures-toi que cela vient bien d’une maison où personne n’est jamais mort. Et cette nourriture fera revivre l’enfant immédiatement. Vas-y. Ne perds pas de temps ». La femme était heureuse. Elle sentait que maintenant le miracle allait se produire. Elle a touché les pieds de Bouddha et a couru vers le village qui n’était pas très grand, très peu de maisons, quelques familles. Elle est passée d’une famille à l’autre, en demandant. Mais chaque famille a dit Non, il y avait déjà un mort dans notre maison. C’est impossible. Il n’y a pas une seule maison – pas seulement dans ce village mais partout dans le monde – il n’y a pas une seule maison où personne n’est jamais mort ». La femme s’est rendu compte que Bouddha lui avait joué un tour. C’était impossible. Mais l’espoir était toujours là . Elle continua à demander jusqu’à ce qu’elle ait fait le tour du village. Ses larmes séchèrent, son espoir s’éteignit, mais soudain, elle sentit un nouveau sentiment, une sérénité, lui venir. Elle se rendit compte que celui qui naîtrait devrait mourir. Ce n’est qu’une question d’années. Quelqu’un mourra plus tôt, quelqu’un mourra plus tard, mais la mort est inévitable. Elle revint et toucha à nouveau les pieds de Bouddha. Source de l’histoire Le livre des secrets, par Osho Alors, sommes-nous immortels ou non ? ! Depuis le début de la création, il n’y a personne qui aurait survécu toute l’époque de la création, sauf le Créateur. Il semble donc naturel que nous traversions le cycle de mort et de renaissance. En même temps, nous savons qu’au moment de la mort, notre Âme est libérée de la cage du corps. Dans chaque processus de mort, notre Âme quitte cette dimension pour entrer dans une dimension plus grande. C’est comme si nous étions l’eau dans un verre ; au moment de la transition, notre verre est versé dans un plus grand bol d’eau – avec de nombreux autres verres les Âmes qui font également la transition. Le processus d’intégration dans des dimensions de plus en plus grandes se poursuit jusqu’à ce que nous atteignions la dimension du Créateur. Cette évolution n’est-elle possible que par la mort ? N’est-il pas possible que nous prenions progressivement conscience de dimensions de plus en plus grandes jusqu’à ce que nous atteignions la dimension du Créateur ? Il semble que MT Keshe parle du point de vue de la dualité et du niveau de la matière. Il parle de l’évolution de l’âme de la forme physique du niveau de la matière vers le niveau fondamental, de la dualité vers la réalisation de l’unité. L’évolution de l’Âme de l’homme ne se termine jamais, car le Créateur aussi est en évolution éternelle. Nous avançons avec Lui, sauf si nous avons mené des vies contraires à l’éthique et n’avons rien donné en retour à la Terre Mère ». MT Keshe Pendant notre transition hors de la dualité, à chaque point de la mort, la façon dont nous avons vécu, dont nous avons utilisé nos talents décidera si nous nous dirigeons vers une dimension supérieure ou que nous nous désintégrerons en diverses particules d’énergie dispersées dans l’univers. La Mort nous sépare-t-elle? Sur le plan physique, nous sommes définitivement séparés d’une personne qui meurt. Sur le plan fondamental, dans la dimension de notre Âme, la séparation n’a jamais eu lieu ou n’aura jamais lieu. Comment peut-il y avoir séparation quand il n’y a pas d’espace? Donc, oui, nous allons revoir tous ceux que nous avons aimés et connus. Nous pourrons rencontrer notre grand-mère qui est morte alors que nous n’avions que 6 ans. En fait, nous ne pouvons jamais être séparés de ceux que nous avons aimés, une fois que nous avons été connectés à eux, nous le serons toujours ; la connexion ne peut pas cesser. Nous comprenons maintenant que notre souhait même de nous connecter à eux empêche la connexion parce que notre souhait est basé sur la croyance que nous sommes séparés et qu’il n’y a pas de connexion. C’est exactement comme on ne peut pas ouvrir une porte qui est déjà ouverte ! C’est vous qui, par votre souffrance, créez la séparation ; alors pas de deuil ! Priez plutôt pour eux, donnez-leur de votre Âme et dites-leur qu’ils peuvent prendre ce dont ils ont besoin. Et un jour vous les rencontrerez à nouveau, un jour ils reviendront. Ne cherchez pas la connexion physique, allez trouver la connexion avec l’Âme. N’essayez jamais de demander à une autre Âme de revenir – au contraire donnez toujours de votre Âme pour élever leur Âme, afin qu’ils puissent trouver la paix, puis attendez qu’ils viennent à vous de leur plein gré ». MT Keshe D’ailleurs, lorsque nous rêvons de quelqu’un qui est passé dans une autre dimension, c’est la preuve que nous sommes connectés. Sur le plan fondamental, nous avons été, sommes et ferons éternellement partie de l’Âme du Créateur ; mais pendant notre transition de la dualité vers la réalisation de l’unité, nous pouvons avoir la perception valable d’un chemin qui nous rapproche de plus en plus du Créateur – et nous pouvons le parcourir. Un jour, l’homme deviendra sage, car il n’y a pas de mort, il n’y a jamais eu de mort. S’il y avait eu la mort, il n’y aurait jamais eu de création, car le Créateur n’aurait jamais existé ». MT Keshe La Création de l’Âme et de l’homme Sylviane Burzala FanigliuloMercredi 6 janvier 2021sur facebook Le 30 Décembre, était invité sur une chaîne italienne, Radio Visione Le thème était la rencontre de la Science et de l’Âme. Où se trouve l’Âme? Chaque homme a une source à l’intérieur de lui-même, l’Âme. Elle est le centre de sa vie. Elle contrôle toutes les fonctions vitales comme la respiration, le pouls, la pression sanguine, la digestion etc. Elle pourrait également contrôler toutes les fonctions ’volontaires’’ – mais le pouvoir de décision dans ces domaines restent avec le ’libre arbitre’’. L’Âme est comme le soleil a un système solaire; les rayons du soleil ne peuvent pas être diminués mais obstrués. L’interaction des champs du soleil avec l’environnement de la galaxie crée le système solaire avec toutes les planètes. De la même façon est créée l’Âme en interaction avec l’environnement terrestre l’ensemble des organes et autres parties du corps humain. De la même façon que nous ne pouvons pas avoir un système solaire, sans avoir le soleil au centre, nous ne pouvons pas avoir une forme physique, quand la source, l’Âme se trouve à l’extérieur. L’Âme de l’homme est à l’intérieur de la structure de l’homme. Et son interaction avec les champs de la Terre, et l’environnement de la Terre, crée l’homme dans sa forme physique. Le siège de l’Âme se trouve au croisement d’une ligne entre les deux oreilles et de l’autre entre le 3e œil et l’arrière de la tête. Le fait de savoir que l’Âme est à l’intérieur de nous, nous donne la pleine responsabilité de notre Âme et de notre propre conduite. En pourrait dire que l’Âme est la représentation du Créateur en nous. Comme le Créateur nous a créé à son image et nous a doté d’un libre arbitre, il nous a donné toute la responsabilité de notre vie. Sans le libre arbitre nous serions dans la même situation que les plantes et les animaux qui ne peuvent pas se décider contre le Salut Global, la volonté du Créateur. Nous avons donc la capacité d’utiliser notre corps et ses capacités de penser, parler et agir sur le plan matériel librement. Mais ces capacités physiques sont seulement des faibles reflets de nos capacités extrasensorielles, comme l’omniprésence, omniscience ou l’omnipuissance. Ces derniers nous sont seulement disponibles si nous sommes proches de l’Âme, parfaitement aligné au Salut Global. Aussi longtemps que notre libre arbitre décide à suivre un chemin égoïste, les pouvoirs extrasensoriels ne nous seront pas disponibles. Pour vivre notre plein potentiel – à l’image du Créateur – notre conduite doit suivre l’Âme, le Créateur. D’une certaine manière, chaque jour est le jour du jugement pour l’homme, maintenant que l’homme sait que son Âme est à l’intérieur de lui. Avec son Âme, l’homme a trouvé sa ligne de communication avec le Créateur et tous les autres éléments du monde à l’intérieur de lui-même. Par conséquent l’homme n’a plus besoin de personne pour lui dire comment contrôler et diriger son Âme – nous sommes donc arrivé à la fin de toute religion. La création de l’Âme et du corps Selon la compréhension conventionnelle notre existence débute lorsque l’ovule et le spermatozoïde se rejoignent. Chacun d’entre eux a sa propre Âme; mais quand ils se rejoignent, ils créent une nouvelle Âme commune, qu’ils partagent tous les deux. Mais selon les informations de la Science du Plasma et les enseignements de Grigori Grabovoï, la création d’une nouvelle vie se passe différemment – presque tout se passe avant la conception physique lorsque le sperme se fond dans l’ovule Le Créateur, dans un élan d’amour, a déjà tout créé; chacun des éléments avec un nombre infini de possibilités. Dans cette création tout est déjà compris, bien sûr aussi cette ’nouvelle vie’’. À un moment donné, deux Âmes amoureuses souhaitent de manifester une autre Âme dans un acte de co-création avec le Créateur. Cette co-création envoie un volume important de lumière informationnelle dans l’ensemble des possibilités du couple et leur souhait au moment précis de la co-création détermine laquelle des possibilités va se manifester. Puis la force de champs plasmique, l’Âme de l’ovule attire le spermatozoïde qui lui correspond. Et la suite est connue car elle se passe sur le plan matériel. Alors cette nouvelle Âme absorbe de plus en plus d’énergie du ventre de la mère. Et elle se divise et crée plus de cellules, chacune ayant une Âme. Et comme le nombre augmente, il se crée toujours un nouveau point de référence central, avec lequel toutes sont en équilibre et communiquent l’Âme collective. Ensuite, ces différentes Âmes, dans l’interaction avec le nouveau point de référence, vont construire le corps de l’homme, les bras, le visage, le cerveau et le reste; et l’ensemble va donner la structure du corps de l’homme. Et l’interaction des flux de champs du sang avec les champs de l’Âme de l’homme, au sein du cerveau, amène la création des émotions. Et c’est ainsi que la Vie est créée. C’est pourquoi nous ressentons nos émotions dans le cerveau. Le sang est un système de contrôle des champs plasma dynamiques. Il crée une cage pour maintenir l’Âme à l’intérieur du corps. C’est pourquoi, quand l’homme meurt et que la circulation du sang s’arrête, l’Âme de l’homme est libre pour prendre une nouvelle position. La vie après la vie Et selon le niveau de force, acquis par l’Âme durant la période de Vie sur Terre, l’Âme devient par la suite, la graine d’une autre planète, d’une autre étoile, quelque part dans l’Univers. Après la vie physique, quand notre Âme quitte le corps, elle prend une nouvelle position dans l’Univers, pour devenir le commencement d’un nouveau Soleil, le commencement d’une nouvelle Vie. Maintenant, nous comprenons le but de la naissance et de la création de l’Âme. Nous devenons une source, un soleil, une nouvelle Vie, à travers la Création. Nous sommes la graine, pour la création d’une nouvelle vie. Si nous n’avons pas vraiment profité de la chance que nous avons de nous préparer pour engendrer un nouvel univers, si nous n’avons rien donné, la structure de notre conscience est si faible qu’elle n’est pas suffisante pour créer une nouvelle vie. À ce moment-là la conscience peu structurée se décomposera comme le corps en canalisant ces fragments dans ce que le Boudhistes appellent ’Courant Mental’’. Et l’Âme retourne au Créateur. Dans la vie physique, nous créons des enfants. Quand notre Âme se libère du corps physique, dans les profondeurs de l’univers, elle devient la graine d’un nouveau soleil. Et éventuellement, elle devient le Soleil. Et ensuite, elle crée son propre système solaire. Et avec lui, elle créera sa propre existence. Elle deviendra le Créateur de nouvelles vies dans la dimension de sa force. Sur terre, sur le plan matériel, nous essayons de donner le meilleur à nos enfants, pour qu’ils aient une vie épanouissante. Au niveau de l’Âme, qu’espérons-nous de notre procréation? Ce que votre Âme porte, fera partie de la création de nouvelles vies. Ainsi, si on porte une mauvaise conduite dans cette vie ici, est-ce qu’on espère qu’une telle Âme pourrait créer dans l’espace, à travers le monde du Créateur ? Nous avons donc une très grande responsabilité vis-à -vis de notre Âme, par notre conduite c’est ça ce que nous amenons dans la création par la suite. D’une certaine façon, la terre est une pépinière pour de nouvelles Âmes, de nouvelles graines pour les espaces à travers l’univers. La Vie ne se termine jamais. L’interaction des champs ne se termine jamais. Ils se convertissent de l’un à l’autre. Dans le monde de la physique, nous parlons de la conservation de l’énergie. Dans le travail du Créateur, nous parlons de la conservation des champs magnétiques. Ils passent d’une énergie à une autre – c’est un processus éternel qui se déroule indépendamment si nous partageons la croyance collective de la mort – la grande faute – ou pas. Punition pour un comportement non éthique La punition est une invention humaine ; elle n’existe pas dans l’Univers ou dans la Communauté Universelle. Les membres de la Communauté Universelle comprennent le fonctionnement de la trinité Âme, âme de la forme physique/mental et du corps. Grâce à notre trinité, nous vivons sur trois niveaux simultanément le niveau fondamental de l’Âme, le niveau de transition du mental et le niveau physique du corps. Sur le niveau fondamental, où notre Âme vit, il n’y a aucune possibilité de se comporter de manière contraire à l’éthique ; de la même manière que le Créateur ne peut pas le faire. Au niveau matériel, le corps – pris pour lui-même – ne peut pas non plus aller contre l’éthique, car il est une extension de l’Âme. Comme tel, il partage ses qualités et ses connaissances. Il nous reste donc le niveau de transition ou d’énergie où vit le mental. Celui-ci est le seul qui peut – en raison de son libre arbitre » – se comporter de manière contraire à l’éthique. Mais le mental n’est quand même pas indépendant, il fait partie de la trinité, de notre structure fondamentale. En plus est-il la création de l’Âme, tout comme nous sommes la création du Créateur, doté des deux magnifiques éléments que sont la liberté et la responsabilité. Cela signifie que le mental peut délibérément désobéir à l’Âme et à l’éthique universelle, et un tel comportement a des conséquences directes sur sa relation avec l’Âme. L’Âme ne vit qu’au niveau fondamental du Principe Universel, le Bien pour Tous ; on pourrait dire que l’Âme reste en quelque sorte immuable dans le Principe Universel. Le mental, grâce à son libre arbitre, peut changer sa position. Nous avons dit que le mental est créé et maintenu par l’Âme. Grâce à cette connexion, le mental reçoit des conseils, des connaissances et de l’énergie pour soutenir son existence et faire son travail – maintenir l’existence du corps, dont l’Âme a besoin pour avoir du plaisir dans le monde en 3D. La connexion entre l’Âme et le mental est comme un élastique. Alors que l’Âme ne peut pas s’éloigner du mental, tout comme le Créateur ne peut pas s’éloigner de nous ; mais le mental le peut. Plus le mental s’éloigne de l’Âme, plus il met de la tension sur l’élastique, tout en limitant le flux de connaissances et d’énergie. Et à un moment donné, l’élastique ne peut plus supporter la tension et se casse. C’est ce que nous appelons la mort physique ». Les enseignements universels que nous recevons actuellement de M. Keshe sont en fait déjà déposés dans notre Âme depuis le point de sa création. Vu de cette manière, ils ne viennent pas de M. Keshe ; il est plutôt le messager qui nous pointe vers la connaissance que nous ne pouvons trouver qu’à l’intérieur de notre propre Âme. C’est donc le degré de proximité avec notre Âme qui décide si nous recevons les enseignements ou non. Le but de ces enseignements est de nous rappeler notre droit de naissance être les co-créateurs divins d’univers splendides, être omniprésents, omnipotents, omniscients et éternellement invulnérables. Donc, si le mental s’éloigne de l’Âme par un comportement non éthique, il s’interdit lui-même de revendiquer son droit de naissance. C’est comme si l’on était assis sur un fauteuil roulant et que l’on voyait un autre homme courir librement, profitant de sa balade à travers l’Univers. Et il regarde ses jambes mais il ne peut pas les bouger, il ne peut pas en faire partie. La plus grande punition » de l’Univers est donc d’être handicapé par l’amour – voir un homme aimer une femme, voir une mère aimer son enfant, et en être exclu, ne pas pouvoir aimer. Vous ne pouvez pas participer, vous ne pouvez pas donner ce que vous avez. L’amour est le seul attribut du Créateur. De cette manière, vous êtes le seul juge de votre propre conduite ». M. Keshe Pour résumer s’il y a une punition, c’est bien celle que vous vous infligez à vous-même en vous privant de la capacité d’aimer et de jouir. Et bien sûr, toute personne qui prend conscience de sa mauvaise conduite, qui regrette sincèrement et essaie de changer, change la situation dans son ensemble. Comme nous l’avons vu, l’Âme n’est pas intéressée par la punition » ou les conséquences » – le seul intérêt de l’Âme est le changement de l’état d’esprit, que la personne veuille revenir près d’elle. Cependant, à la suite de ce changement d’état d’esprit, les deux Âmes impliquées – l’Âme du bourreau et l’âme de la victime – doivent trouver un nouvel équilibre entre elles. Et cela peut prendre la forme d’un processus qui prend du temps et peut être progressif. Lorsque tout va très bien, dans le processus de changement et de recherche d’un nouvel équilibre, les deux Âmes peuvent être élevées et alors elles voient que tout le scénario était en fait à leur avantage à toutes les deux. L’élévation de l’âme Je comprends que l’élévation de l’âme » se réfère à l’âme de la forme physique/mental. Tout simplement parce que l’Âme est égale au Créateur et n’a donc pas besoin d’être élevée. L’élévation de l’âme de la forme physique ou du mental signifie essentiellement de transformer le singe hyperactif en un parfait serviteur de l’Âme. Pour faciliter cette transmutation, plusieurs voies sont ouvertes Les souhaits du Conseil Universel et de la Fondation Keshe Je donne librement de mon Âme à toutes les Âmes existantes, prenez ce dont vous avez besoin. Je suis présent. » Ce n’est pas une formule magique, ni une prière catholique. Si elle est faite automatiquement, elle n’aura aucun effet. Nous devons sentir ce que nous faisons tout du long comment nous le faisons, comment nous nous sentons quand nous le faisons ; nous devons aussi sentir l’interaction que cela crée. Les pratiques de Grigori Grabovoï Le champ de l’esprit est tellement étendu que le singe n’a aucune chance de recourir à ses stratagèmes habituels de blâmer, juger et se plaindre. Ces pratiques sont similaires aux danses sacrées de Gurdjieff. Les méditations d’Osho Osho a adapté bon nombre de ses méditations au mental occidental agité. Les méditations dynamiques, en particulier, nous aident à nous débarrasser de nos déchets mentaux afin que nous puissions devenir assez silencieux pour nous asseoir et méditer. Il existe de nombreuses autres techniques qui vont dans le même sens. Il semble important de mentionner que l’élévation de l’âme en termes de la Fondation Keshe et de Grigori Grabovoï va plus loin et va au-delà des simples méditations pour calmer le mental – elles interviennent dans la conscience individuelle et collective, changeant ainsi notre perception et notre réalité. Connaissances Universelles L’UEU en tant que système planétaire La prochaine étape sera la réplication d’un système solaire complet, avec de nombreuses planètes, chacune tournant dans sa propre direction et suivant sa propre orbite. La réplique d’un système solaire réel. Comme nous pouvons créer une véritable représentation de travail en 3D d’un système solaire, cela nous permettra de localiser n’importe quel point de l’univers où nous souhaiterions voyager. Une fois que nous pouvons voir » le point de destination, nous pouvons y être instantanément. L’UEU est de forme ovale ; il y a une raison à cela. En fait, tous les éléments de l’univers sont dans cette forme ovale. Ils ne sont pas circulaires. Une forme circulaire indiquerait un système statique alors que l’ellipse indique un système dynamique, en mouvement car les pressions Magrav sont différentes selon les côtés. Notre soleil comme toute la galaxie n’est pas statique dans la galaxie, mais il se déplace à l’intérieur de celle-ci et la galaxie se déplace elle-même. Un côté absorbe la pression de tout l’environnement tandis que l’autre émet les champs magnétiques. Lorsque nous regardons l’image de la NASA de notre univers, nous voyons plus d’éléments à la périphérie ; parce qu’il y a plus d’interaction de l’univers avec les autres univers à la périphérie. Nous verrons la même chose lorsque nous pourrons explorer les limites de notre propre système solaire – comme vous le voyez sur l’image, il y a aussi plus d’éléments à la périphérie. Prenons l’exemple de la nouvelle UEU-santé ; elle devra comporter deux sphères l’une est l’Âme du médecin et l’autre celle du patient. Les deux interagiront sur le plan fondamental, le niveau de perfection. Le souhait de l’Âme du médecin éclairera l’Âme du patient et cette interaction se manifestera dans la structure de la physicalité. Vous recevrez ce que vous acceptez pour élever l’âme de la forme physique/mental. Je me demande combien d’entre vous seront assez forts pour porter la force de l’âme à élever votre physicalité et avec ce souhait, vous entrerez dans la dimension du Créateur. » M Keshe Nous développerons cette citation dans le chapitre suivant Conscience et contrôle de la réalité. Ces nouvelles UEU, qui seront présentées en janvier, ne comporteront aucun contrôle ou autre technologie informatique, même l’éclairage sera absent. Changement de la conscience collective Cette technologie propagée par les nouvelles UEU permettra à l’humanité de faire un bond en avant. La puissance de ces unités va s’associer à l’effort de beaucoup d’entre nous, avant-gardistes, qui structurons leur conscience. Cette convergence peut rapprocher le point de basculement de la conscience collective, responsable de la perception des humains au niveau de la matière. Alors nous nous réveillerons le 21 mars 2021 et nous auront totalement oublié toutes nos fautes du passé, et ouvrons nos bras saluant le nouveau jour, où nous brillerons tous de la pure lumière de notre Âme. Voir les champs et non les réacteurs M Keshe nous rappelle sans cesse de ne pas regarder les magravs, les réacteurs et les GaNS, de ne pas regarder le support de la matière mais de nous ouvrir aux champs, l’agent actif, qui crée et fait bouger des systèmes sur le plan matériel. C’est une étape importante, car pour comprendre les enseignements présentés depuis la semaine dernière KSW356, nous devons nous mettre en position de voir les champs et non les supports matériels. Dans un temps de transition, nous utilisons toujours le GaNS pour mettre les forces de champ universelles dans une condition où elles interagissent avec et pour nous. La petite sphère rotative montrée dans le dernier enseignement KSW356 était alimentée par le soleil central au centre de la grande sphère ou bol ; elle montrait son positionnement et mouvement à l’aide du point de référence, le soleil au centre. Maintenant nous allons apprendre comment remplacer ce soleil central par notre Âme. De cette façon, les champs ou l’âme de la petite sphère seront produits par l’interaction du soleil central avec son environnement, de notre Âme avec l’inertie de la Terre. Ensuite, il serait possible, si nous le souhaiterons, de condenser le plasma de la petite sphère plus qu’elle se présente sous une forme matérielle pour que nous puissions la voir et en profiter. Sur l’image nous voyons l’environnement des champs de notre planète hachure rouge, dans lequelle les rayons fondamentaux paquets d’énergie de l’Âme du créateur sont en interaction avec notre Âme le soleil ; cette interaction conduit à la création de la petite sphère hachure bleue. Ce sera notre souhait qui déterminera la manifestation de ce que nous voulons le mouvement, la matière ou la vie. Et bien sûr, la grande question demeure qu’est-ce que nous devrons changer en nous pour que nous soyons effectivement capables de faire apparaître l’argent exact, le pourboire inclus, dans la paume de nos mains à la fin d’un dîner entre amis dans un restaurant ? Dans notre exemple, l’Âme voit l’objet de son souhait à travers les yeux et l’Âme de la physicalité le mental crée l’argent pour le payer. La vision du Nouveau Monde Réalité objective Si nous arrivons à introduire dans la conscience collective le concept de l’impossibilité de l’anéantissement, que tout le monde peut être ressuscité et que toute vie est éternelle, alors c’est exactement ça ce qui se passera. Car lorsqu’une telle croyance fera partie de la conscience collective, elle deviendra stable et commencera à être perçue comme la réalité objective. Tout le monde va voir la vie éternelle comme maintenant tout le monde voit la mort! C’est pourquoi nous agissons en tant qu’Humanité unie; dans cette optique nous travaillons directement sur notre conscience personnelle mais aussi sur celle de toute la collectivité. Alors nous provoquons des changements dans notre perception individuelle de la réalité et aussi dans la façon dont toute la race humaine perçoit la réalité. Et une fois que nous aurons passé le point de basculement, où la conscience collective sera elle aussi entièrement structurée – tout le monde verra le même monde parfait en même temps. Si nous comprenons que l’homme a été créé pour la vie éternelle et que personne ne doit mourir en principe, si chaque personne considère la vie éternelle comme naturelle, la vie deviendra naturelle, et la réalité physique sera exactement comme cela. Puisque l’image dans notre conscience structurée forme l’image physique. C’est ainsi que la réalité physique est créée. C’est la façon de créer une vie éternelle vraiment heureuse. La résurrection et la vie éternelle La résurrection est la restauration du corps physique après la mort. La biologie nous enseigne que la plupart des cellules dans notre corps se renouvellent tous les 7 ans et nous avons appris que notre conscience recrée notre corps physique au rythme de 1017 fois par seconde. Pourquoi ne pourrait-elle pas le faire enc ore une fois après la mort du corps physique ? Lorsque l’homme ressuscitera son corps après la mort, son corps sera parfait et sain. De plus, la résurrection lui permet de revenir avec toute les compréhensions de la vie qu’il vient de quitter et toute les compréhensions de ses vies antérieures. La résurrection peut alors être un outil extrêmement puissant dans le processus d’évolution de l’homme. La résurrection et la vie éternelle dans le corps physique, permettent à l’homme d’évoluer indéfiniment dans la phase de réalisation. La réincarnation était le processus adapté à la phase de dualité sur le plan matériel elle n’est plus adaptée dans la phase de réalisation où elle est remplacée par la vie éternelle. Vu par le Créateur, l’homme est éternel. Notre tâche consiste donc maintenant à apporter cette connaissance du Créateur à l’homme afin qu’il se rend compte de sa propre éternité. Dans cette optique, la résurrection est vue comme un retour à l’éternité du tout. La résurrection et la vie éternelle sont la manifestation de l’harmonie universelle du monde. Au plus profond de son cœur, chacun de nous sait que la résurrection universelle des morts est encore à venir l’homme, une fois créé, ne peut être anéanti parce qu’il est une composante active, intégrale au monde entier. Et en créant l’Âme éternelle, qui à son tour crée le corps, le Créateur a créé un corps éternel comme reflet éternelle de l’Âme. Pourquoi est-il nécessaire de donner la priorité au corps physique et de le rendre indestructible ? Pourquoi la tâche consiste-t-elle maintenant à faire prendre conscience à l’homme de sa véritable l’éternité ? Eh bien, la possibilité qu’on peut détruire le corps, ouvre la porte que l’homme peut manipuler un autre homme en le menaçant de la mort. Si le corps physique est indestructible, le chantage devient absurde prison, exécution, famine, empoisonnement, etc n’ont plus aucune réalité. La violence et la mort ne peuvent pas non plus être utilisées pour punir. Voilà le véritable fondement de la paix éternelle sur terre. Alors si nous voulons œuvrer pour la Paix la meilleure façon serait d’arriver à structurer notre conscience au point où nous sommes inviolables – cela devient encore plus crucial dans le scénario d’installation du ’nouvel ordre mondial’’! Aujourd’hui, lorsqu’il y a un conflit entre des peuples ou des pays, la force est souvent utilisée pour résoudre le problème. La plupart du temps, la mort biologique de l’ennemi est utilisée pour éviter d’aller à la racine du problème, d’aller aux vraies causes. Par conséquent rendre le corps physique indestructible et notre vie éternelle doivent être notre priorité. Ce faisant, l’homme pourra assurer les véritables bases de son développement harmonieux à intérieur et à extérieur. Quand le monde extérieur est tout à fait apaisé, l’homme réalisera alors que le Créateur et l’Univers tout entier sont là pour l’aider, lui et son développement, à tout moment. Cela lui permettra de donner une réelle valeur à sa vie, qui deviendra joyeuse et heureuse. Lorsque nous nous regardons de plus près, nous constatons que nous avons déjà beaucoup d’ »éternité » en nous nos pensées sont éternelles ; et avec elles, tout ce que nous pensons, disons et faisons est de nature éternelle. La lumière de l’éternité est constituée de telle manière que l’homme la reproduit, la recrée. Et plus cette lumière se diffuse vers la réalité extérieure, plus nous regardons à travers les yeux éternels du Créateur, plus nous verrons combien d’aspects de notre monde sont éternels. Plus nous sommes capables de percevoir l’éternité, plus nous prendrons conscience de notre propre éternité. Lorsque nous structurons notre conscience, nos pensées seront de plus en plus chargées de lumière informationnelle et deviendront de puissants bio-signaux. Nous verrons que nos pensées commencent à produire la lumière de l’éternité, puis nous voudrons bien sûr augmenter le volume de lumière rayonnée vers la réalité extérieure, et diriger nos pensées vers l’éternité, et vers les technologies du développement éternel. C’est ce que nous faisons lorsque nous transférons ces informations de l’éternité par nos pensées vers les autres éléments de l’univers. Même pendant ce processus nous allons déjà comprendre que nous rayonnons comme des soleils dans l’univers. Nous pouvons commencer à considérer l’éternité comme un phénomène de tous les jours quand nous apprenons de la biologie que toutes note corps renouvelle toutes ses cellules tous les 7 ans. Et encore plus quand nous considérons qu’on effet le taux de rafraîchissement de notre corps complet est de 1017x/sec. Le renouvellement des cellules ne passe pas par la mort; ce n’est pas qu’une cellule meurt et après elle est recréée; comme l’arbre perd ses feuilles en automne pour repousser d’autres le printemps prochain. Ça ne se passe pas comme ça; il n’y a pas de mort. Nous comprenons maintenant que tous nos cellules sont déjà éternelles de par leur nature. Et en considérant l’organisme entier de la même manière, nous voyons que lui aussi est éternel. À ce niveau de conscience, notre corps change; les différents tissus de rayonnent d’une luminescence argentée. Nous pouvons alors étendre cette conscience de l’éternité à l’ensemble de la réalité à partir des éléments que nous savons éternel dans notre organisme. L’urgence de la vie éternelle n’est pas simplement une quête logique, mais elle est aussi l’expression de l’essence totale de l’homme, venant de Dieu, le Créateur, qui est éternel et c’est donc son souhait. L’éternité de l’homme est l’éternité de Dieu et la structure organisationnelle de l’homme. L’Homme et le Créateur Lorsque nous entrons en contact direct avec notre Âme, nous entrons simultanément en contact avec le Créateur. Ce contact se produit lorsque tout est fait en ayant à l’esprit le Principe Universel ou le Salut Global. Lorsque notre première tâche est le contact avec le Créateur, le Salut global, alors les tâches restantes deviennent très simples. Si on se met dans l’état du Créateur, on peut agir très facilement, sans jamais se fatiguer. En d’autres termes, nous pensons, parlons et agissons comme le Créateur. L’instant où nous commençons à diriger notre vie vers le Créateur, celui-ci et l’Univers tout entier viennent à notre aide. Ensuite, tous les événements s’alignent en synchronicité multiple. Nous sentons que nous sommes en plein dans la mission de notre vie et que la vie nous soutient dans cette direction. Tout devient simple, joyeux, harmonieux. Même lorsque nous hésitons, quand nous ne savons pas quoi faire, nous pouvons nous demander comment le Créateur agirait… Notre transformation actuelle, le Défi Corona, a lieu précisément dans la perspective où l’homme s’unit au Créateur. L’homme commence à devenir comme le Créateur, ce qui signifie qu’il n’est pas différencié de Lui en termes de réaction du monde extérieur. Si la conscience de l’homme est bien structurée, alors le plan matériel réagira aux pensées de l’homme exactement de la même manière qu’aux pensées du Créateur; le plan matériel se dépêchera volontiers aux souhaits de l’homme. Il est juste et bon de combiner nos actions avec celles du Créateur; il ne devrait pas y avoir de différence entre l’œuvre de Dieu = l’œuvre de l’homme . Dans ce processus, le moment viendra où nous aurons la certitude de vraiment faire partie du Créateur. L’homme est fait pour créer et harmoniser. Par conséquent, les enseignements actuels favoriseront naturellement le Salut global Principe universel, le développement harmonieux, la résurrection/vie éternelle; tout en assurant les conditions d’un développement éternel harmonieux de tous les éléments de la réalité selon les desseins du Créateur. Si notre conscience change, le monde entier change Lorsque notre conscience sera plus structurée, le monde extérieur et le monde intérieur ne seront plus perçus étant différent. L’état dans lequel nous sommes habituellement ne peut plus être le même. Pendant le processus de structuration, notre état de conscience va constamment fluctuer entre certaines limites en corrélation avec le niveau de notre développement à ce moment-là . Bien sûr, il peut arriver que notre état de conscience ordinaire passe soudainement à un état de conscience relativement élevé. À ce moment-là , la personne éprouve ce que nous appelons Samadhi », une extase, un incroyable sentiment de joie de vivre. Il est en fait impossible de décrire cet état avec des mots, il faut en faire l’expérience. Par une véritable aspiration spirituelle, une compréhension profonde et une pratique régulière et soutenue, nous pouvons atteindre ce niveau où nous serons toujours dans un état de conscience élevés. En fait, la différence entre notre état de conscience réel et notre plein potentiel est si énorme qu’on pourrait dire que la personne a passé à un autre niveau d’existence. Car il faut garder à l’esprit que le corps humain est un système, capable de s’améliorer infiniment. Et il est difficile d’imaginer l’homme à l’heure actuelle à son plein potentiel. Lorsque nous mettons les êtres réalisés sur un piédestal Jésus, Bouddha, Shiva, Eckard Tolle, Osho, M. Keshe, Grigori Grabovoï – nous nous faisons croire qu’ils sont spéciaux et que leur position est inaccessible pour nous – alors pourquoi se donner la peine d’essayer ? Vérifiez si vous êtes pris au piège de la même idolâtrie ; et échappez immédiatement ! Emotions “L’interaction entre l’âme et l’âme de la physicalité esprit crée une lumière que nous appelons émotion ». M Keshe L’Émotion de la vision Nous devons être capables de créer suffisamment de champs dans la direction de l’âme de la forme physique vers l’Âme pour que la barrière des acides aminés dans le cerveau de l’homme n’existe pas. Ensuite, dans tout votre corps, vous ressentirez l’émotion de l’Âme. Il ne s’agit pas de l’interaction entre les deux âmes, mais le but de cet enseignement est d’avoir une seule émotion pour les deux systèmes. Ensuite, les deux peuvent travailler ensemble pour produire à l’unisson le corps parfait pour n’importe quel environnement donné dans les univers ». M. Keshe Nos sens physiques En dehors de notre planète, dans l’espace profond, nous ne pouvons pas utiliser nos sens, car nous voyageons avec notre Âme et pendant cela notre corps est suspendu. De plus, lorsque nous rencontrons nos frères et sœurs de la Communauté Universelle, nos sens et les informations qu’ils fournissent n’ont pas beaucoup de valeur. C’est pourquoi nous devons accéder aux émotions correspondantes afin de nous orienter, de communiquer et de nous amuser. Même si nous connaissons les émotions de la présence, de la position et de la connaissance, il se peut que nous ne puissions pas voir, ce à quoi elles se réfèrent. Par exemple, une personne peut être capable de voir l’Âme en tant que lumière, alors que notre mental n’est pas encore assez structuré pour la percevoir. Notre langue a des expressions comme être aveugle à certaines choses » ou ces choses seront dans notre angle mort » – dans ces situations, nous ne pouvons pas voir certaines choses parce que les filtres de notre conscience, ne nous le permettent pas. Tout ce que nous pouvons voir Regardons maintenant de plus près nos yeux perçoivent les informations provenant du niveau de la matière en forme des pixels A. Ensuite notre mental avec notre conscience interprète les données visuelles pour synthétiser une image mentale ou une perception D. Nous savons que pour notre conscience, les données visuelles du monde matériel A ont le même degré de réalité que l’imagination C. Mais il existe une troisième source d’information tous les éléments de l’univers ont une Âme, qui existe sur un niveau supérieur au niveau de la matière. Si notre conscience est assez structurée, elle peut percevoir des informations de n’importe quel élément au niveau énergétique et au niveau fondamental également B. Si nous voulons voir ce que l’Âme voit, nous devons aller au-delà du niveau de la matière, au niveau de l’énergie ou fondamental – et ce que notre Âme voit n’apparaîtra que sous la forme de lumière ou sentiment. Au début, notre mental n’est peut-être pas capable de déchiffrer les informations, mais notre Âme le peut. Notre conscience doit donc s’ouvrir à ce domaine de perception, si elle veut y participer. On pourrait dire que nos yeux fonctionnent comme un pont entre l’Âme et le physique. Ce pont est utilisé lorsque nous nous souvenons de nos rêves. Quand nous rêvons, notre Âme interagit avec une autre Âme. L’Âme transfère les informations de cette rencontre à nos yeux ; et par ce canal, elle a accès au cerveau physique pour les traduire et les synthétiser en images reconnaissables. Nous accédons à ces images lorsque nous nous souvenons de notre rêve le matin suivant. Probablement l’Âme utilise la même voie dans les expériences de mort imminente lorsque des personnes sont physiquement mortes sur la table d’opération mais leur conscience sort de leur corps. Alors elles peuvent percevoir aussi clairement qu’avec les yeux ouverts ce qui se passe dans la salle d’opération et parfois même au-delà de cet événement espace-temps. Vision de l’âme Nous savons maintenant que l’Âme utilise beaucoup les émotions; ceux-ci peuvent contenir et transférer d’énormes quantités d’informations. Et elle peut les envoyer au filtre du mental qui traduit les émotions en informations visuelles, comme dans un rêve. Mais il y a des pertes dans cette traduction, le résultat ne contiendra pas tout. Alors parfois, nous ne pouvons pas comprendre nos rêves nous voyons les images et n’avons aucune idée comment les interpréter ou les comprendre. D’autres fois, nous pouvons même avoir une mémoire claire mais non-visuelle de ce que nous venons de rêver – un sentiment très vif -, mais nous sommes totalement incapables de le communiquer – même si nous le voyons encore ! Cela signifie que notre Âme fait ce qu’elle est censée faire, mais nous sommes si loin d’elle ou si peu habitués à son langage que nous ne comprenons pas. Nous ne pouvons pas reconnaître ce que nous ne savons pas et nous ne pouvons pas voir ce que nous ne savons pas. Il est donc crucial d’en savoir plus pour comprendre et voir plus. Ainsi, en suivant cet enseignement et les pratiques pour structurer notre conscience, nous pouvons voir de plus en plus de choses exceptionnelles parce que ces enseignements ouvrent notre mental à de nouvelles dimensions ; et notre Âme est déjà excitée d’utiliser cette nouvelle liberté. Souvenez-vous aussi que l’Âme ne comprend que les émotions ; c’est pourquoi un sentiment de bonheur est la condition ainsi que la confirmation d’un souhait que nous avons fait. Lorsque nous nous attardons sur le sentiment que nous aurons lorsque notre souhait sera réalisé, c’est à ce moment-là que notre souhait se charge au point qu’il se matérialisera. M. Keshe raconte qu’il voit les gens sur deux niveaux simultanément il voit l’apparence physique, ce que la personne veut montrer, et il voit l’Âme ; il percevra donc la différence entre les deux s’il y en a une. Il peut voir quand une personne ment, mais il ne peut pas le dire à la personne, car il n’est qu’un observateur, un pur témoin – il n’interférera pas. C’est un gage de maturité que de pouvoir voir à la fois au niveau physique et au niveau de l’Âme ; et en tant que tel, c’est un excellent outil pour structurer notre conscience. Nous ne verrons pas une seule Âme à la fois mais une multitude d’Âmes – et ça sera comme regarder un feu d’artifice. Tellement beau que nous allons nous poser la question Pourquoi ai-je été aveugle à cela pendant si longtemps ? » Et il est possible que sur le plan physique, avec nos yeux d’acides aminés, nous voyions au même moment un groupe de personnes qui souffrent. L’Âme ne peut pas souffrir, elle peut seulement dissiper sa lumière comme le soleil. Dans l’émotion de la vision, nous pouvons voir la présence de tout dans son spectre entier, alors qu’avec la vision physique, nous ne pouvons voir que la petite section permise par la force des acides aminés, une sorte de vision tunnel biaisée. L’émotion de la vision est également le navigateur dans nos voyages spatiaux par l’Âme. À l’aide de notre Âme nous pouvons aller/être à n’importe quel endroit que nous pouvons voir – voir par notre Âme et pas par nos yeux. C’est alors la maturité ou le degré de la structuration de notre conscience qui décidera de ce que nous pouvons voir avec nos émotions – et y aller si nous le voulons. Donc le plus notre conscience est structurée, le plus les Univers s’ouvrent devant nous! Le Sentiment de Réaction Le sentiment de la connaissance + le sentiment de la vision = le sentiment de la réaction Le sentiment de la réaction permet à la forme physique et à l’Âme de s’engager ou de s’impliquer dans quelque chose ou non. Si je me vois dans une position où ma présence et mes connaissances peuvent créer un danger pour moi ou pour les autres, alors je me retire de cette situation grâce à ma vision. Cette discrimination peut signaler un danger, mais aussi des visions trop belles », qui peuvent être beaucoup trop fortes pour nous. Alors nous nous en aveuglons, parce que notre sentiment de réaction nous protège. Donc, dans les deux cas, le sentiment de la vision attrayante ou répulsive par rapport à notre sentiment de la connaissance décidera si nous souhaitons ou non nous manifester physiquement dans une situation que nous rencontrons. Bien sûr le sentiment de réaction dépend dans son fonctionnement beaucoup du degré de la structuration de notre conscience. Un sentiment de réaction peut limiter notre liberté si il est alimentée par des systèmes de croyances collectives ou il peut expenser notre liberté jusqu’à nous voyons que nous sommes des êtres éternels jouissant d’un monde éternel ! Comment le Créateur est créé L’Âme du créateur est créée de l’ensemble des Âmes qu’il a créées et qui ont conduit à sa création. Il faut des milliards d’années pour créer une étoile à partir de l’interaction de deux champs, créant un nouveau plasma qui, en interaction avec tous les autres champs, crée le premier atome ; qui, en interaction avec tous les autres atomes, crée des molécules… puis de la poussière et enfin, des millions d’années plus tard finalement l’étoile est née. Nous faisons la même chose en 9 mois dans le ventre de la mère ; c’est ce qu’est l’Âme, c’est ce que l’Âme est capable de faire. L’illumination ne change pas le cerveau ou le mental, elle ne fait que donner plus de puissance au programme qui est en cours la conscience ». M. Keshe Le Sentiment de la Connaissance Sentir la connaissance L’Âme contient toutes les connaissances de l’univers et, au-delà , toutes les connaissances du créateur. Nous n’avons pas besoin d’aller à l’école, nous devons seulement nous accorder l’accès à l’Âme et immédiatement nous sommes ce que nous appelons omniscients. Laccès à notre Âme passe par la structuration de notre conscience. Comme nous ne sommes pas nés accidentellement en tant que Chinois, Africain ou Européen, c’est l’Âme qui choisi l’environnement d’inertie dans lequel notre corps va prendre forme, déterminant ainsi la race et les conditions dans lesquelles nous allons grandir. L’Âme contient également toutes les lignes temporelles, tous les champs de force du temps selon lesquels notre développement physique et mental se déroulera. L’Âme sait intrinsèquement à quel âge commencer à communiquer, à quel moment ouvrir la faculté de pensée abstraite mental et à la conscience. Il semble que l’Âme, dans son action naturelle, non entravée par le mental non structuré, modifie la conscience fournit de nouveaux logiciels de l’enfant afin qu’il puisse entrer dans les différentes phases de son développement. L’Âme lui ouvre une porte après l’autre. C’est-à -dire que l’Âme sait ce qu’elle sait et fournit cette connaissance au mental via une expansion naturelle de la conscience. C’est donc l’émotion de la connaissance qui entre en jeu. À un certain âge, nous devenons intrigués de savoir pourquoi nous nous mouillons en jouant sous la pluie, pourquoi la pluie en hiver tombe en flocons de neige, etc. Nous ne nous contentons plus d’observer les faits ; une nouvelle source de plaisir s’ouvre à nous le plaisir de savoir ce qui se passe derrière les choses que nous observons, quelles sont les forces qui se cachent derrière les apparences et qui les font bouger. Ce nouveau désir est compris par l’Âme ; en fait il vient de l’Âme, il est planté par l’Âme comme un grain pour de nouvelles allées de découverte de ce splendide monde en 3D. Lorsqu’elle voit que le souhait est reçu, elle ajoute les connaissances nécessaires pour satisfaire ce nouveau désir. Du côté du mental/conscience, l’enfant commence à être intrigué par une nouvelle partie du monde oh, je souhaite vivement explorer comment cela fonctionne » et il commence immédiatement à utiliser le logiciel correspondant, déjà fourni par l’âme, pour satisfaire ce nouveau désir. La phase où l’enfant demande pourquoi ceci et pourquoi cela, est très important ; et l’enfant saura tout de suite si la réponse qui lui est donnée est sincère et adéquate ou non ; il sent si la connaissance de la réponse est correcte, utilisable et utile – il se sert du sentiment de la connaissance. Nous avons dit que l’Âme est le réservoir de toutes les connaissances pertinentes, donc les parents et l’enseignant n’ont pas à nourrir l’enfant de réponses mais à lui montrer le chemin où il peut trouver ses propres réponses à l’intérieur de lui-même ! L’émotion est un immense réservoir de connaissances Dans les articles précédents, nous avons déjà élaboré les différents contenants de la connaissance, le langage étant le plus pauvre et les images et les sentiments les plus denses. Le parallèle se trouve dans le fait que le langage se rapporte au mental rationnel sur le niveau matériel tandis que les sentiments et les images appartiennent au niveau de transition et fondamental. L’Âme ne parle ni ne comprend les langues humaines; elle transfère et traite une quantité infinie de connaissances par le biais des images et des émotions. L’un des canaux de communication préférés de l’Âme est l’intuition; et l’intuition, comme nous le savons tous, travaille avec des sentiments et des images. Foire aux plaisirs intermédiaires Une fois que nous aurons accédé à l’entrepôt infini de connaissances dans notre Âme, puisque cette dernière est UNIE à l’Âme du Créateur, nous nous retrouverons au même niveau que le Créateur ayant accès aux mêmes connaissances et étant capable de la même créativité qui peut donner naissance aux Univers. Au début, nous pouvons trouver beaucoup de plaisir à essayer des choses comment ce serait si j’étais blonde et que j’avais les yeux bleus ? Comment me sentirais-je si je restais aussi longtemps que je le souhaite sous l’eau ou comment dormirais-je suspendu entre les branches de cerisiers en fleurs? Nous pourrons tout essayer, tant que cela ne va pas à l’encontre du Principe Universel. Mais ensuite, lentement, nous nous habituerons à nos nouvelles capacités et connaissances et nous nous en tiendrons très probablement à la forme physique avec laquelle nous sommes nés ; car notre Âme avait créé notre corps dans cette forme particulière parce qu’elle était la plus appropriée pour vivre NOTRE vie – dans le sens de tirer le plus de plaisir de nos expériences et bien sûr dans le sens d’être à l’endroit le plus approprié pour servir la totalité de l’existence. Servir la totalité de l’existence » signifie aider la totalité du monde à tirer le plus grand plaisir de ses expériences »! Il n’y a pas de sacrifice au sens classique du terme, pas d’abandon de son propre intérêt pour le bien des autres ou d’un idéal. Mais il y aura beaucoup de sacrifice au sens original le mot sacrifice vient du latin et signifie rendre quelque chose sacré » ; donc si je me sacrifie, je me rends sacré ! Dans ce sens, nous nous épanouirons en participant à l’élévation de l’Âme de tous les êtres. L’évolution de la connaissance Même si nous utilisons l’expression entrepôt de connaissances », nous ne voulons pas dire que le savoir universel est limité. Il ne l’est pas ; il fait partie de la création, ce qui signifie qu’il est infini comme la création elle-même. Et comme la splendide co-création du Créateur et de l’Homme est capable de créer des Créateurs, le processus de création n’est pas seulement infini et éternel mais il va tout le temps au-delà de lui-même Nous le voyons clairement en ce qui concerne la connaissance. Nous recevons les connaissances de l’Âme du Créateur. Les connaissances sont gratuites. Nous les multiplions librement. Et par le processus même de compréhension et de partage de ce que nous avons compris, la connaissance passe de l’Âme du Créateur à notre Âme. Au cours de ce processus, nous ajouterons naturellement nos couleurs qui nous viennent lors du processus. De cette façon, le réservoir de connaissances mentionné est depuis toujours et constamment en expansion. Ls connaissances s’étendent constamment et elles changent – et ne seront plus jamais les mêmes. Et il ne peut en être autrement, car les univers eux-mêmes s’étendent et tout en eux change constamment ! Lorsque nous acquérons des connaissances, nous partageons pour élever les autres. Et lorsque nous apprenons – peu importe de quelle source scientifique, dans quel domaine de connaissance ou de compréhension – alors nous sommes devenus le véritable chercheur de connaissances. Dans ce contexte, le rôle de la Fondation Keshe est de rapprocher l’humanité de cette vérité » M. Keshe Question d’Alexandre Comment pouvons-nous nous libérer de l’emprise de la physicalité en ce moment ? » C’est une question de l’état d’esprit. C’est la façon dont nous définissons et dont nous fonctionnons dans cet esprit. La beauté du nouveau cycle est que nous vivons dans la dimension de l’Âme et que nous choisissons de profiter de la forme physique quand nous le souhaitons. Le choix nous appartient ». M. Keshe Utiliser les connaissances On peut utiliser les compréhensions ou les connaissances de différentes façons. Généralement nous nous en servons pour accomplir ce que nous souhaitons. Nous avons appris que la réalité sur le plan matériel se manifeste par la Loi d’Attraction qui transforme les paquets d’énergie en provenance du cente de l’Unicos à l’aide de notre conscience en formes matérielles. L’élément décisif dans le processus est évidemment notre conscience – si elle est non-structuré, l’ensemble des manifestations va être le pot-pourri de phénomènes contradictoire qu’on voit autour de nous. Si, par contre, notre conscience sera structurée, nous allons vivre éternellement dans un monde joyeusement parfait. Il y a donc des connaissances constructives et non-constructives, parallèle à notre conscience qui, elle aussi, peut être constructive ou non. Heureusement ce sont seulement les pensées constructives, issu d’une connaissance structurée qui ont la force d’influer directement sur la réalité. Cela nous emmène au fait que l’utilisation la plus efficace et bénéfique des connaissances est le contrôle de la réalité. Le contrôle de la réalité Nous, dans notre monde Le monde est construit par le Créateur d’une manière à la fois simple et compliquée. Simple, car un très jeune enfant peut y vivre avec succès. Compliqué, parce que la réalité contient une variété infinie d’objets, une variété de formes, de couleurs, de sons, d’odeurs, etc. En outre, tous les éléments de la réalité sont reliés entre eux par des connexions informationnelles universelles ; chaque élément interagit avec les autres éléments pour trouver sa position équilibrée. Il semble donc que le monde soit compliqué à comprendre avec le mental rationnel mais simple à vivre. Comme nous faisons partie du monde, il est facile pour nous de contrôler le monde avec notre conscience qui, elle aussi, fait partie du monde. Le mécanisme de contrôle de la réalité est divin, il a été créé par le Créateur, et il fonctionne en permanence. Pour pouvoir l’utiliser, l’homme doit le connaître et apprendre à s’en servir. Pour apprendre à contrôler la réalité, nous n’avons pas besoin de la recréer, nous devons seulement ajuster notre instrument de contrôle de la réalité. Notre instrument de contrôle est le mental avec son système d’exploitation appelé conscience. Plus nous sommes capables de structurer notre conscience, plus nous commençons à construire notre vie en accord avec les intentions du Créateur. La conscience est notre outil Nous avons dit qu’il est simple de contrôler notre réalité. Dans le contexte, le terme contrôle de la réalité » a une interprétation sans ambiguïté, il signifie faire évoluer tout événement dans une direction constructive , c’est-à -dire dans l’esprit du Principe Universel tel que le Créateur l’a voulu. C’est comme si nous vivions avec tous les univers à l’intérieur d’une sphère et que nous pouvions simplement, avec notre petit doigt, changer l’ensemble à l’intérieur et à l’extérieur de la sphère – nos pensées peuvent changer le monde. Il est important de comprendre que notre conscience ne fait pas la différence entre ce que nous voyons avec nos yeux charnels et ce que nous voyons à l’intérieur de nous ; car pour notre conscience, la réalité matérielle et l’imagination sont équivalentes. C’est un principe fondamental. Ainsi, si nous pensons à quelque chose, tout en étant dans le bon état d’esprit et si notre conscience est suffisamment structurée, alors cette pensée peut se matérialiser et changer le cours des événements. La conscience est la structure qui permet à l’Âme de tout contrôler au niveau matériel. Grâce à la conscience, nous pouvons contrôler la réalité extérieure ainsi que les éléments internes, comme les sentiments ou la perception par exemple. Pendant très longtemps, l’humanité a cru qu’elle était limités à un très petit rayon d’action sur elle-même, les autres et l’environnement. Hypnotisés par la conscience collective, nous nous étions habitués à notre impuissance. Il est temps maintenant de redécouvrir notre potentiel infini. Dans le passé, nous pensions que notre pouvoir de contrôle reposait uniquement sur ce que nous pouvions faire sur le plan matériel, par conséquent l’efficacité de notre contrôle a été instable et incertaine. Maintenant que nous apprenons à fonder notre contrôle de la réalité sur la conscience, nous serons capables de créer tout ce que nous voulons. Tout événement peut se transformer en un événement favorable lorsque nous apprenons à augmenter la force du champ magnétique de nos pensées. L’approche visant à structurer la conscience est le fondement des enseignements de Grigori Grabovoï, qui visent le salut global et le développement harmonieux de tous. Comment structurer notre conscience Alors comment faire ? Nous commençons par nous mettre dans le bon état spirituel. Un peu de méditation, une reconnexion au corps, à la respiration. C’est très simple, il suffit d’être en contact avec soi-même, d’être conscient de soi-même. Plus vous pratiquez, plus cet état vous viendra naturellement. Jusqu’à ce qu’il devienne permanent. Il existe de nombreuses façons d’entrer dans l’état de conscience détendue. En voici une simple et efficace proposée par Hélène Laporte, l’excellente enseignante de Grigori Grabovoï Je vous invite maintenant à vous centrer et à faire ce qui est bon et juste pour vous détendre. Bailler, s’étirer. Connectez-vous à votre respiration. Sentez l’air aller et venir dans vos narines et vos poumons. Sentez battre votre cœur, sentez le sang circuler dans tout votre corps. Percevez votre corps en une seule impulsion. Sentez vos pieds, vos jambes, votre tronc, votre tête, vos membres supérieurs. Connectez-vous à l’ensemble de votre corps physique. Maintenant, équilibrez votre état émotionnel et énergétique avec votre intention. Approfondissez un peu plus l’état de confort de votre corps. Cette relaxation éveillée vous relie au niveau fondamental et informationnel de la réalité. Dans cet état vibratoire élevé, où vos pensées sont nécessairement lumineuses et en harmonie. Une fois que vous êtes dans cet état, tout ce que vous avez à faire est de visualiser, de ressentir ou même simplement de penser à l’événement pour le normaliser ou le matérialiser et laisser l’état de relaxation éveillée diffuser son énergie sur l’événement. Il va infuser l’événement sur le plan énergétique d’amour, de lumière, de paix et d’harmonie. Cette technique de contrôle de la réalité va devenir rapide et simple. Nous recevrons la confirmation si notre effort de normalisation ou de matérialisation a réussi au niveau des émotions – nous ressentirons un grand sentiment d’harmonie, d’amour, de joie, de paix ou de présence par exemple. Pour contrôler la réalité, il suffit d’introduire notre propre élément spirituel dans l’événement et de produire ainsi une plus grande harmonie. Plus notre spiritualité est évoluée, plus notre conscience est structurée, plus puissant sera notre contrôle de la réalité. C’est comme si on ajoutait de la lumière à l’événement et qu’on réorganisait ainsi sa structure de lumière. Vous pouvez percevoir cela au niveau optique, ou vous pouvez sentir un changement dans les sensations de votre corps ou l’apparition d’un nouvel état d’être. Vous pouvez visualiser l’événement au niveau normal ou simplement y introduire de la lumière et le laisser faire son travail. Il existe une infinité de façons de le faire. Nous changeons le monde et il nous change Toutes les structures du monde sont interconnectées, inclus nous mêmes. La conséquence est que nous n’avons pas besoin de penser à toutes les détails que nous voulons changer dans une situation donnée. Le moment où nous changeons un élément et où il normalise tout le reste suivra. C’est très simple. C’est ainsi parce que tout dans le monde est connecté à tout le reste ; donc, lorsque nous normalisons un élément, il change de position pour ainsi dire ; et tous les autres suivront. C’est comme être dans une sorte de toile d’araignée, qui envoie de la lumière d’un côté et toute la toile s’allume en même temps ! Lorsque nous nous concentrons sur un élément existant au niveau de la matière en étant dans un état de conscience détendu avec un esprit structuré, nous synchronisons en fait la réalité de l’état de la matière avec nos pensées. C’est-à -dire que nous transformons la réalité pour qu’elle prenne la forme de nos pensées. Notre conscience est créée par le Créateur à son image. Par conséquent, notre conscience est construite de telle manière que nous pouvons matérialiser tout objet de réalité dont nous avons besoin. Pour ce faire, il nous suffit de nous faire une idée constructive de la manière exacte dont le Créateur s’y prend. Et ainsi, des perspectives infinies s’ouvriront à notre créativité. Bien sûr, nous pouvons utiliser ces techniques de contrôle pour la vie personnelle, mais imaginez les répercussions lorsque nous les utilisons au niveau collectif pour améliorer la vie de l’humanité entière ! Le monde est fait de structures interconnectées. La modification de l’une de ces structures entraîne la modification de toutes les structures. La perception et la conscience font partie de ces structures. Ainsi, en changeant notre point de vue, nous modifions notre perception et notre interprétation de l’événement et donc de la réalité. Le point de vue change en fonction du degré de structuration de notre conscience. Par exemple, si nous voyons un accident de voiture, soit nous nous disons que c’est horrible, soit nous ne réagissons pas par un jugement et envoyons une impulsion normalisatrice. Cela signifie que nous changeons réellement la réalité en changeant de point de vue. Cela explique aussi pourquoi, en élevant notre niveau de conscience individuelle, nous élevons le niveau de la conscience collective tout entière. Le point de basculement La structuration de la conscience signifie l’augmentation de la densité de l’information, l’augmentation de la masse des données dans un certain volume. Une telle concentration de la conscience peut avoir des conséquences considérables. Lorsque dans le processus d’évolution de la personne, la concentration de sa conscience dans un certain volume atteint une certaine valeur, le monde bascule le mental reprend sa place naturelle et originelle – il redevient le plus parfait serviteur de l’Âme. Vous avez remarqué que ce mécanisme » fait en sorte que personne ne puisse abuser du monde pour son bénéfice personnel, son pouvoir, etc. Car le mental n’atteint ce pouvoir ultime que lorsqu’il se soumet à l’Âme, c’est-à -dire au Créateur. Il ne peut donc pas y avoir de réalité pour quelqu’un qui essaie de dominer les autres pour son bénéfice personnel – cependant il peut créer cette illusion et faire en sorte que les autres y croient aussi. Un mensonge ne devient pas vrai, même si des millions de personnes y croient ! En même temps, la structure du monde change et ce n’est plus le monde qui détermine la structure de la personne mais la personne elle-même qui donne le ton. À ce stade, nous commençons à vivre le véritable but de notre vie, nous commençons à vivre la vie d’être créé à l’image du Créateur. Lorsque la densité des informations contenues dans notre conscience est supérieure à celle de la conscience collective, alors la conscience collective ne nous limite plus ; nous sommes alors libérés des systèmes de croyance collectifs. Dès que la force de ce champ de conscience devient plus forte que celle du champ de matière et devient indépendante de ce dernier, l’homme devient intouchable et indestructible. Les pensées, les paroles et les actions de l’homme deviendront l’élément essentiel, primaire, et tous les autres objets matériels deviendront des éléments secondaires. Et ce sera le prochain niveau de notre évolution, où l’homme commence à créer sa réalité sans limites, il n’est plus soumis aux lois de la matière, il reprend sa place de co-créateur. Parce que le contrôle de la réalité se fait au-delà du niveau matériel, au niveau fondamental et énergétique, rien du monde matériel ne peut nous toucher. Nous pouvons donc travailler toute à fait à l’aise; à distance dans l’espace ou le temps. Faire confiance au processus La structuration de la conscience et le contrôle ultérieur de la réalité deviendront rapidement notre outil de base, nous permettant de normaliser immédiatement toute situation, même en cas d’urgence. Mais lorsque nous commençons à contrôler la réalité, notre conscience peut ne pas être suffisamment concentrée pour stabiliser le résultat. À ce moment-là , nous aurons des résultats, mais ils ne dureront pas. Ou alors, nous avons des résultats partiels. Par exemple, si nous nous efforçons de normaliser une catastrophe, nous ne pourrons peut-être pas la prévenir complètement, mais nous pourrons réduire son impact sur la vie. Nous devons donc continuer à travailler jusqu’à ce que nous ayons stabilisé le résultat. Si nous avons l’impression que cela ne fonctionne pas bien, c’est simplement que notre conscience n’est pas encore assez structurée pour avoir des résultats très efficaces. Nous devons continuer et persévérer ; le moment viendra où nous y arriverons. C’est inévitable. Sur notre chemin vers le contrôle de la réalité, avec un peu de pratique et de temps, nous pourrons sentir si notre conscience a atteint le niveau de contrôle de la réalité ou non ; et nous pourrons nous ajuster en conséquence. Le travail négatif’’ Il y a, pour ainsi dire, une partie négative du travail de structurer notre conscience. Nous devons apprendre à contourner les informations qui ne sont pas à la norme. Nous devons apprendre à ne pas prêter aucune attention à tout ce qui n’est pas à la norme. L’idée de guérir une maladie avec cette technologie, par exemple, nous demande simplement de ne pas considérer le manque de connaissance qui a causé la maladie. C’est quelque chose comme un contournement dans un sens très concret, voire spatial la partie qui n’est pas à la norme est positionnée à un endroit particulier. Si vous savez cela, vous ne devez tout simplement pas entrer dans cet espace avec votre attention ou votre pensée. Si vous ne nourrissez pas les éléments qui ne sont pas à la norme avec votre attention, elle ne peut pas se matérialiser pour vous. Pourquoi ? Parce que la loi de l’attraction ne matérialise que les choses sur lesquelles nous avons porté notre attention. Si l’Âme est en contrôle, elle envoie la pré-pensée que l’esprit, par sa conscience structurée, transforme en pensée structurée qui génère alors une matérialisation à la norme. Si, par contre, les croyances collectives prennent le dessus, elles provoquent des déformations. Il est donc juste et bon de ne pas analyser ou même de penser à ce qui n’est pas à la norme ; nous ne devrions pas nous en soucier du tout. Ce que nous devrions plutôt faire, c’est envoyer immédiatement une impulsion pour contrôler la réalité et aller de l’avant sans s’en soucier. Voici un exemple vous vous promenez et vous voyez un trou devant vous. Vous reconnaissez que c’est un trou dans lequel vous allez tomber si vous ne faites pas attention ; et immédiatement – sans même y penser ! – vos pieds le contournent. Il est également vrai que vous ne pouvez pas travailler avec un négatif ; vous ne pouvez pas vous forcer à ne pas voir ou à ne pas penser à quelque chose. Mais on peut remplacer une réaction par une autre réponse; on peut cultiver le réflexe d’émettre un bio-signal normalisant dès que l’on est confronté à un événement qui n’est pas à la norme. Avec le temps et la confiance dans le processus, notre impulsion constructive remplacera lentement le vieux réflexe de ressentir l’attrait des crimes, des catastrophes, etc. C’est comme remettre l’événement inharmonieux sur le chemin de l’éternité. Tout ce qui s’est égaré, nous le ramenons au centre. Nous le remettons sur le bon chemin et nous envoyons de la lumière. Plus on s’éloigne de la voie du milieu, plus on a besoin de connaissances, plus on a besoin de lumière. Pour permettre à un événement de se normaliser, notre conscience doit constamment le projeter à la norme. L’événement négatif lui-même peut nous aider sur le chemin chaque événement qui n’est pas comme nous le voudrions, contient cette information négative mais il a aussi une autre facette tout ce que nous n’aimons pas nous dit en même temps ce que nous aimons. Nous avons donc le choix de regarder soit le côté sombre, soit le côté lumineux. Nous avons le choix de la direction vers laquelle nous dirigeons notre attention. Nous éliminons simplement la possibilité que quelque chose de mauvais puisse se produire en dehors de notre conscience ; et nous gardons seulement toutes les possibilités de ce que nous aimerions qu’il arrive. En fait, lorsque nous sommes bien formés, la solution vient avec le problème et nous commençons à normaliser la situation instantanément, dès qu’elle se produit – les yeux fermés. Pourquoi ça marche Nous pouvons voir que tout dans le monde a une nature particulaire et ondulatoire. Et tout se décide du côté de l’onde et le côté de la particule ne fait que suivre. Nous savons maintenant que nous devons créer une onde lumineuse résonnante, un bio-signal avec notre conscience, afin d’interférer avec le côté ondulatoire des événements. En d’autres termes, c’est une question de rapidité de traitement de l’information, une question de rapidité de pensée. Pour que la guérison se produise, par exemple, la vitesse de traitement des informations sur l’état de santé doit être plus rapide que la vitesse de traitement des informations sur l’état de la pathologie. Il suffit de s’attaquer à la partie ondulatoire de l’événement inharmonieux, c’est-à -dire la pathologie, pour qu’elle revienne à la normale. Ensuite, une fois qu’il est harmonisé, le côté particule doit suivre l’onde modifiée. Le processus de normalisation Normaliser un événement ne signifie pas le remplacer par un nouveau. Nous savons que tous les événements du monde ont déjà été créés par une impulsion d’amour dans la co-création du Créateur et de l’Homme. Ils sont toujours conformes à la norme et sont appelés prototype original . Ils existent au niveau fondamental et apparaissent comme des possibilités au niveau matériel. Chaque événement est créé avec un nombre infini de possibilités. Et c’est notre conscience qui choisit quelle possibilité sera matérialisée par la Loi de l’Attraction. Et le taux de rafraîchissement de la réalité est de 17x/sec. Ce prototype original contient la lumière informationnelle qui peut être transmise par une conscience structurée à un événement à normaliser. Dans ce processus, la lumière informationnelle fonctionne comme un pochoir qui superpose l’état normal d’un événement à un événement actuel qui n’est pas normal ; et le normalise de cette manière. Les séquences numériques fonctionnent exactement comme cela. Le Sentiment de la Présence Normalement, nous ne considérons pas la présence » comme une émotion, mais si nous y regardons de plus près, nous pouvons constater que nous sentons clairement si nous sommes présents ou non, elle est clairement un indicateur de notre alignement avec l’Âme, elle est clairement un indicateur de la structuration de notre conscience. Alors que les émotions les plus courantes sont principalement liées à des événements sur le plan physique, l’émotion de la présence se produit lorsque notre mental est en veille et que notre Âme prend le contrôle ! Dans la langue anglaise, nous avons le mot awareness » qui indique le même état nous ne sommes pas pris par des systèmes de croyances collectives, des déclencheurs émotionnels, etc. ; nous pouvons donc être présents à ce qui est sans aucun jugement ; une pure vigilance sans aucune implication personnelle. Dans cet état, notre conscience est structurée et notre perception est objective, non entachée par les filtres subjectifs d’une conscience non structurée. Habituellement, l’homme utilise les émotions pour contrôler l’Âme, c’est là que se situe le problème. Mais avec l’émotion de la présence, c’est une autre histoire. » M. Keshe Cela veut dire aussi que l’émotion de la présence est une des émotions les plus proches de l’Âme. Qu’est-ce qu’un rêve ? Normalement, nous considérons un rêve comme quelque chose d’irréel, une illusion. La science du plasma nous dit qu’un rêve indique une interaction entre notre Âme et l’Âme de la personne que nous voyons dans notre rêve lorsque nous dormons, ni l’âme ni le corps dorment, mais seulement le mental. Ainsi, pendant ce temps, la partie active du mental est suspendue et l’interaction de l’Âme avec une autre Âme est enregistré par la partie passive du mental. C’est pourquoi nous pouvons nous souvenir des rêves. Mais lorsque nous nous souvenons du rêve dans ce que l’on appelle l’état de veille », la partie active de l’esprit avec la conscience reprend alors le dessus et peut déformer ce que la partie passive a vu. Bien sûr, plus notre conscience est structurée, plus nous nous souviendrons de l’interaction originale entre les Ames. Rêve et voyage de l’Âme Dès que notre conscience sera structurée, elle ne superposera pas les croyances inconscientes à l’interaction entre les deux Âmes. À ce moment-là , nous nous souviendrons de la partie objective de l’interaction entre les Âmes. En même temps, nous pourrons interagir avec toute Âme que nous pourrions rencontrer dans l’espace au niveau objectif, celui de l’Âme. En fait cela veut dire que le rêve n’est qu’un évènement réel – les deux Âmes se rencontrent vraiment. Nous pourrons également percevoir les conditions de l’endroit où nous sommes arrivés dans l’espace et notre Âme, même sans l’implication de notre mental rationnel, adaptera notre corps en temps réel à la nouvelle condition de vie ; ainsi, nous restons parfaitement adaptés à l’endroit où nous nous trouvons à tout moment L’application de ces compréhensions changera toute notre civilisation car le même processus d’adaptation suivra même les changements les plus infimes de notre environnement – ici sur terre ou ailleurs – pour adapter immédiatement notre physique afin d’être toujours dans une condition physique parfaite et agréable. Le chauffage artificiel, l’éclairage, l’énergie pour les transports, etc. Et il y a un autre avantage à structurer notre conscience lorsque nous comprenons l’interaction entre deux Âmes, nous pouvons délibérément rêver de n’importe quelle Âme que nous souhaitons et nous la rencontrerons réellement ! En fait, pendant que nous vivons notre vie de vision tunnel », notre Âme est en interaction et en communication avec tout ce qui existe – seulement, nous n’en sommes pas conscients à cause de la vision tunnel ; nos croyances inconscientes surtout celles qui affirment que nous sommes limités filtrent la plus grande partie de celle-ci. L’Âme est toujours aux commandes en arrière-plan ; ainsi, lorsque nous disons oh, j’étais juste là quand ceci et cela s’est produit », la réalité est que l’Âme nous a emmenés là pour que nous puissions apprendre quelque chose. L’Émotion de la position Ici, sur le plan physique, nous nous orientons à l’aide de notre vision ainsi que des dispositifs d’orientation différée comme un GPS. Ces technologies ne sont pas utilisables dans l’espace. Cependant, l’Âme a la possibilité de percevoir la structure et la force de l’interaction avec d’autres entités, ce qui lui donne la possibilité de déterminer précisément la localisation réelle. Notre désir d’être en présence d’une certaine personne, est d’une intensité de champ plus élevée que la manifestation physique dans des endroits. De toute façon, les coordonnées où se trouve une personne ne sont pertinentes que sur le plan matériel. C’est donc l’intensité du champ de notre souhait qui nous mènera à l’Âme que nous désirons voir. L’émotion de la position, même si elle nous est largement inconnue, est assez fréquente dans le règne animal. Un exemple est la façon dont les lionnes chassent les antilopes chaque lionne sait exactement où se positionner autour du troupeau d’antilopes ; puis elles attendent et soudain elles se dirigent toutes vers une seule cible. Tout cela se passe en silence ; aucune des lionnes n’est vue en train de communiquer avec les autres pour coordonner la chasse. Elles connaissent simplement leur position individuelle par rapport à la position des autres lionnes et des antilopes. Nous voyons la même chose dans un essaim d’oiseaux ou un banc de poissons ; quand des centaines d’entre eux se déplacent comme un seul être. Les oiseaux migrateurs, en particulier les oies, savent où et quand rencontrer les autres, et chacun connaît sa place dans la volée et se déplace comme un seul être – personne ne dirige le contrôle des mouvements. Et comment les oiseaux trouvent-ils l’arbre exact où ils ont niché l’année précédente à leur retour? Nous pensions qu’ils suivaient les champs magnétiques de la Terre. Mais ces champs changent constamment, seul l’arbre reste en place ; il semble donc que les cigognes soient reliées à l’Âme d’un arbre particulier pour lui revenir. C’est comme si l’arbre les appelle constamment – et elles suivent l’appel comme l’appel d’un amoureux. Nos pieds Nous trouvons également un système de positionnement dans nos pieds et dans l’oreille interne – le premier est responsable de l’équilibre du corps entier, le second du positionnement de la tête. Le pied, le petit orteil plus précisément, est le grand équilibreur. Il décide des proportions de notre corps, de l’emplacement de nos masses, de nos muscles et de nos organes et de notre position verticale. Et ces systèmes de positionnement fonctionnent de manière totalement indépendante de notre implication volontaire – l’alliance parfaite entre le corps et l’Âme. Les mains et les doigts Nos doigts sont nos antennes ; nous les utilisons pour absorber l’énergie de l’univers beaucoup plus rapidement que par tout autre moyen physique. Leur forme et leur position déterminent les énergies qui sont absorbées et la manière dont ces énergies doivent être converties. Nous émettons également des énergies de manière ponctuelle.
croyance que tout objet a une ame